mercredi 22 mai 2013

Au moment ou le parle tellement de revoir les pension, l’âge a l’accès de celle-ci n’est pas pareil pour tout le monde

Ce que l'on sait sur Saïd Arif, le terroriste islamiste en fuite
Ce terroriste de nationalité algérienne, assigné à résidence depuis sa sortie de prison en 2011, a pris la fuite samedi 11/05/2013 au soir à bord d'une voiture volée en Haute-Loire. Les autorités le recherchent activement.
Il devait se présenter au commissariat dimanche 12 mai à 9 heures, mais les gendarmes ont attendu en vain. Alors qu'il était placé en résidence surveillée à Brioude (Haute-Loire), le terroriste islamiste Saïd Arif a pris la fuite, vraisemblablement samedi soir. Un plan Milan (autre nom du plan Epervier) a été déclenché pour tenter de le retrouver.
Qui est ce militant de nationalité algérienne, condamné en 2007 pour apprtenance à un réseau terroriste ? Comment a-t-il pris la fuite ? Francetv info résume les informations disponibles à ce jour.
Qui est Saïd Arif ?
Né le 5 décembre 1965 à Oran, Saïd Arif, lieutenant déserteur de l'armée algérienne, est considéré comme un important responsable des réseaux jihadistes liés à Al-Qaïda. Il a séjourné en Afghanistan, où il a été formé dans les camps d'entraînement du réseau terroriste. Il aurait été en contact avec Oussama Ben Laden et le lieutenant d'Al-Qaïda Abou Moussad Al-Zarkaoui.
Après son séjour en Afghanistan, Saïd Arif aurait notamment été responsable, au début des années 2000, de certaines filières d'acheminement et de formation des futurs combattants terroristes d'Al-Qaïda. Extradé de Syrie sur demande de la France, il a été mis en examen en 2004 pour la première fois pour "appartenance à une association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste" par le juge anti-terroriste Jean-Louis Bruguière, dans un procès rassemblant divers protagonistes des filières de recrutement de combattants en Tchétchénie.
Les membres de ce réseau étaient aussi soupçonnés d'avoir préparé des attentats contre plusieurs monuments parisiens, dont la Tour Eiffel, rapportait à l'époque L'Express.
Pourquoi se trouvait-il en Haute-Loire ?
Condamné en 2007, Saïd Arif a été libéré de prison en décembre 2011. La Cour européenne des droits de l'homme s'étant opposée à son expulsion vers l'Algérie, en raison de risques de torture, Saïd Arif était resté en résidence surveillée en France. Il avait d'abord été placé dans un hôtel de Millau, dont il s'était déjà échappé en janvier 2012.
Depuis octobre, il était assigné à résidence à Brioude (Haute-Loire), où il devait pointer chaque jour à la gendarmerie. Suite à la grogne d'élus locaux, le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, s'était engagé à ce qu'il quitte Brioude fin avril 2013, mais le militant était toujours sur place, situation qui lui était "indifférente", avait-il confié à France 3 Auvergne.




on peut aussi supposé que l’hôtel dans lequel il était assigné a résidence,n’était pas trop a son goût, et que l’hôtel Hilton de Paris lui aurait mieux convenu, il faudra en tenir compte a l’avenir !!!

1 commentaire:

  1. Résidence surveillée, pas si surveillée, à moins qu'il n'ait des dons de passe-muraille.

    RépondreSupprimer