jeudi 25 avril 2013

Attaque d'un RER D à Grigny: un mis en cause relaxé

Un jeune homme de 18 ans, qui comparaissait pour sa participation présumée à l'attaque d'un RER D en gare de Grigny (Essonne) le 16 mars, a été relaxé vendredi par le tribunal correctionnel d'Evry, au bénéfice du doute.

Le mis en cause, qui comparaissait libre sous contrôle judiciaire, niait les faits qui lui étaient reprochés. Le parquet d'Évry avait requis à son encontre 2 ans d'emprisonnement, dont 6 mois avec sursis, et un mandat de dépôt.

Dans cette affaire, onze jeunes hommes mineurs de la cité sensible de Grigny, parmi lesquels trois ont moins de 16 ans, seront jugés en juin devant le tribunal pour enfants.

Le 16 mars vers 22h50, plusieurs passagers du RER D avaient été rançonnés par une vingtaine de personnes qui les avaient forcés à leur remettre portables, portefeuilles et sacs à mains. L'attaque n'avait pas fait de blessé.


Attaque du RER D à Grigny :
surprenante relaxe de Mohammed, pourtant formellement reconnu
Le parquet avait requis contre le prévenu deux ans de prison.
Il a pourtant été relaxé au bénéfice du doute,
alors qu’un des voyageurs agressés et un policier l’avaient reconnu.

ça crie beaucoup en politique, oui, mais qu'est-ce que cela change, quant aux passagés du train , pour maîtriser leur peur, ils leur suffi de sourire a leurs agresseurs et de  remettre toutes leurs valeurs a ceux-ci et il ne leurs arrivera rien, enfin on peut  l’espèré pour eux.

1 commentaire:

  1. Un sourire ... d'accord, je me marre, plus cela me rend hilare, je rigole. Bon, plutôt jaune mais on risque de me taxer de raciste envers les asiatiques. C'est triste de voir que, même reconnu, ils arrivent à obtenir la relaxe "bénéfice du doute" et oui. La justice est aveugle.

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