mercredi 5 juin 2013

Drame: un sexagénaire se suicide pour ne pas se retrouver à la rue !!


05/06/2013)
Didier s’est tiré une balle dans la tête sur le balcon de son logement social UCCLE Âgé de 66 ans, Didier Versavel a mis fin à ses jours ce mardi alors qu’il était sur le point d’être expulsé de son logement social, situé au 390 de la chaussée de Neerstalle.
Au préalable, un huissier de justice s’était présenté sur le pas de sa porte sur le coup de 8 h 15 pour procéder à son expulsion, accompagné d’un inspecteur de quartier. “Vous ne rentrerez pas chez moi” , s’étaient-ils d’entrée de jeu vus rétorquer.
Concomitamment, les déménageurs avaient installé leur élévateur afin d’embarquer les affaires du sexagénaire. Arrivés à hauteur de son balcon, ceux-ci avaient aperçu la carabine 22 Long Rifle dont Didier Versavel s’était saisi et avaient alors donné l’alerte.
 “L’inspecteur de quartier a en conséquence pris la décision de geler la situation et on a lancé les procédures d’usage” , indique Laurent Masset, porte-parole de la zone de police Marlow. “On a essayé de rentrer en contact avec lui pour voir quelles étaient ses intentions. Cela, sans résultat. Sur le coup de 10 h, on est ensuite entré dans son appartement parce que l’un des policiers avait aperçu le corps de la victime gisant sur son balcon. Il était déjà mort depuis quelque temps, mais personne n’avait entendu le moindre coup de feu.”
 L’homme habitait l’immeuble depuis 1999 suite à des ennuis de santé qui lui avaient fait perdre son emploi, explique Natalie Nicaise, directrice de la Société uccloise du logement (SUL). Celui-ci ne payait plus son loyer depuis approximativement deux ans et était redevable d’environ 14.000 €. Il avait déjà failli être expulsé il y a quelques années, également pour non-paiement de loyers.
 Toujours est-il qu’une solution avait, à l’époque, été trouvée et que Didier Versavel avait in fine réussi à remettre son compte à zéro, précise Natalie Nicaise.
D. H.


Ce drame me rappelle étrangement les films que j’allais voir il y a bien longtemps , parmi les préférés a l’époque, il y avait ceux de Robin des Bois, celui –ci défendait les pauvres paysans contre les salauds qui voulaient les chasses de leurs fermes,  qu’es qu'on était heureux a la fin du film, on criait de joie dans la salle de cinéma, donc je disais , qu’es qu’on était heureux quand les sans scrupule devaient payer pour toutes les saloperies qu’ils avaient commises contre les pauvres paysans pendant tout le film,

Robin des Bois a disparu, mais pas ceux qu’il a combattus  *
·         On les revoit souvent dans d’autres films.    
ne t’en fait pas trop Didier, ceux qui t’ont chassé de ton abri ,
quand le moment viendra ,  
ne seront pas mieux logés que toi à présent !


2 commentaires:


  1. J'espère Madame que vous pourrez dormir du sommeil du juste, cet homme était en détresse des solutions auraient pu être trouvées, c'est toujours ce qu'y est dit ... après. Ici, vous n'aurez plus à vous préoccuper de ce Monsieur il s'est expulsé lui-même. Triste histoire.

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  2. du moment que ce drame n’a pas trop d’incidence sur sa carrière, elle ne s’inquiétera pas trop, elle ira probablement jusqu’à penser que la victime c’est elle.

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