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Schaerbeek ne veut plus voir ses jeunes partir en Syrie
À la veille de la rentrée scolaire, la commune de Schaerbeek organisera, jeudi prochain, une réunion sur le problème de la radicalisation. Objectif: empêcher le départ des jeunes en Syrie.
À la veille de la rentrée scolaire, la commune de Schaerbeek organisera, jeudi prochain, une réunion sur le problème de la radicalisation, a indiqué jeudi Marc Weber, le porte-parole du cabinet du bourgmestre Bernard Clerfayt (FDF). Une demande devrait être adressée aux professeurs de religion des écoles afin qu’ils portent une attention particulière à la problématique des jeunes qui partent en Syrie.
La réunion doit rassembler des responsables des services de prévention de la commune, le chef de cabinet de l’échevin de l’Enseignement, un représentant de la police ainsi que la coordinatrice pour les problématiques de radicalisation.
À la suite de premiers départs de jeunes schaerbeekois en Syrie, la commune avait donné des formations spécifiques aux gardiens de la paix et aux éducateurs de rue. Des contacts avaient été pris avec les directeurs des écoles afin qu’ils demandent aux professeurs de religion d’être particulièrement attentifs aux discours des enfants et qu’ils dispensent les explications nécessaires sur les risques d’embrigadement par des groupes extrémistes.
La commune avait également demandé à ce que les personnes qui travaillent dans le dispositif contre le décrochage scolaire, Declic, soient attentives à cette problématique. Vu le contexte actuel en Syrie, ce dispositif préventif devrait être réitéré, lors de cette réunion, pour la rentrée scolaire.
Trop de liberté tue la liberté. Depuis des décennies, les enfants ont eu tous les droits et pas d'obligations. Ce sont des enfants-rois, enfants-tyrans, il faudra du temps pour rectifier leur façon de raisonner. Ce ne sera pas "tu ne peux pas" qui changera quoi que ce soit, même si le discours est tenu par les parents, les professeurs, ou les travailleurs de rues.
L'interdit est plus attrayant que le permis.
partir oui, mais surtout ne jamais revenir
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