Le 26 février 2003, celui qui était alors le patron du PS appelait, dans le cadre d'un débat sur l'intervention contre le régime de Saddam Hussein, à ce que le parlement soit consulté avant une éventuelle entrée en guerre.
Sénateurs et députés doivent débattre, mercredi 4 septembre, de la crise syrienne, sans voter. Le 26 février 2003, celui qui était alors le patron du PS appelait, dans le cadre d'un débat sur la guerre en Irak, à ce que le Parlement soit associé, par un vote, à la position du gouvernement de Jean-Pierre Raffarin. François Hollande, premier secrétaire du Parti socialiste, défendait "la primauté du droit" et le "rôle des Nations unies" face à la volonté américaine de recourir à la force. Le député demandait un débat parlementaire avec vote.
une pollution d’on ne parle jamais.....
Maintenant qu'il est Président, sa demande n'est plus de mise, il décide (enfin avec certains de ses ministres car lui .....)
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