En réponse à l'appel lancé par le comité des familles des détenus européens au Maroc, une cinquantaine de personnes se sont rassemblées dans le calme, dimanche, de 12 à 14 heures, autour de la Pasionaria, porte-voix monumental édifié en l'honneur des émigrés, avenue de Stalingrad, à Bruxelles.
C'est le troisième rassemblement dominical mensuel organisé par le
comité, depuis la journée internationale des prisonniers le 30 octobre dernier.
Arborant les photos de leurs proches incarcérés au Maroc, une dizaine de
familles belgo-marocaines ont manifesté pour solliciter l'engagement des
autorités belges.
Faisant valoir leur double nationalité, les membres du comité
demandent à la Belgique d'intervenir auprès des autorités marocaines pour faire
annuler les condamnations de ceux qui ont été torturés. Ils proposent également
l'organisation de visites consulaires dans les prisons marocaines et
la mise en
place d'une aide spécifique aux familles en Belgique. Ah oui . . .en €uros je suppose ?
"La France vient de faire libérer Florence Cassez au Mexique", rappelle Luk
Vervaet, porte-parole du comité. "La Belgique ne doit plus ignorer les
rapports de l'ONU ou du Conseil national des droits de l'homme qui font état de
tortures dans les prisons marocaines."
Les
soeurs, mères et épouses des détenus ont annoncé la naissance du groupe,
"La femme qui parle", pour structurer leurs actions. Fondatrice de ce
mouvement, Chriffa, plaide pour la libération de son frère, Bekhti Abdellatif,
incarcéré au Maroc pour terrorisme après avoir été cité par le Belgo-Marocain
Abdelkader Belliraj, accusé d'avoir dirigé un réseau terroriste. source : 7/7 infoCette demande est assez surprenante, je peux comprendre que toute personne en détresse a le droit d’être aidée, mais là, demander l’aide de la Belgique, je trouve cela un peu fort, alors que trop de gens de chez nous sont victimes de gens issus de l’immigration, sans que cela ne suscite que de l’indifférence de cette communauté à part quelques soutiens individuels de cette communauté.
N’avons-nous pas assez d’individus de cette communauté dans nos prisons aux frais de l’état que nous devrions en plus intervenir dans la gestion de ceux qui son emprisonné dans leurs pays d’origine et cela même s’ils on la double Nationalité, de plus, ce sont des condamnés de droit commun.
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