Dimanche, la police a réprimé dans le sang les manifestations des partisans du président déchu Mohamed Morsi. Le pays n'avait plus connu d'affrontements aussi meurtriers depuis deux mois.
La place Tahrir a replongé dans la violence, dimanche 6 octobre, à l'occasion de la commémoration du 40e anniversaire de la guerre de Kippour, considérée par l'Egyptecomme une victoire contre Israël. Au moins 51 personnes auraient été tuées à travers le pays dans ces heurts entre partisans et opposants à l'ancien président Mohamed Morsi, destitué par l'armée en juillet dernier. Pour les militaires, ces célébrations étaient l'occasion de fédérer la population autour d'eux, mais la contre-manifestation des Frères musulmans a été violemment réprimée, notamment place Tahrir, au Caire.
Depuis que l'armée a pris le pouvoir, elle livre une lutte sans merci aux partisans de Mohamed Morsi. Militaires et policiers ont tué des centaines de manifestants pro-Morsi, arrêté plus de 2 000 Frères musulmans, dont la quasi-totalité de leurs leaders, interdit leurs activités et gelé les avoir de la confrérie qui avait pourtant remporté haut la main les législatives fin 2011. Et depuis la mi-août policiers et militaires ont carte blanche pour ouvrir le feu sur tout manifestant qui s'en prend à des biens publics, ce qui laisse libre cours à la plus large interprétation.
Quand je pense que les spécialistes nous ont
présenté l’Égypte
comme un des pays du Maghreb des plus modérés en
religion !
Chez nous pas de problème pour l’avenir, Ce
sont les spécialistes qui le disent !!!
Si les spécialistes le disent, alors là!!! appliquons l'adage "courage, fuyons".
RépondreSupprimer"courage, fuyons". ah ah ah ah ah ah ah ah
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