Les diables rouges sont en rupture de stock !!!
"Chaque période est dominée par une mode, sans que la plupart des gens soient capables de découvrir les tyrans qui l'imposent" - Albert Einstein-
mercredi 23 octobre 2013
Gratulerer Norge
Ce qui suit a été mis en ligne le 04 août 2013 par "le blog de médiation 34"
Mosquées en Norvège: Allah bonheur !!!
Le Gouvernement Saoudien et de riches donateurs privés d'Arabie Saoudite, voulaient financer des mosquées en Norvège à hauteur de dizaines de millions d'euros.
Légalement, ils en ont le droit.
Conformément à la Loi Norvégienne, il est permis aux pays étrangers de soutenir financièrement les communautés religieuses, mais vu l'importance de ces sommes, le Gouvernement doit approuver le financement.
Or, le Ministère des Affaires Etrangères vient non seulement de refuser d'approuver ce financement, mais il a également répondu au Centre Islamique Tawfiiq, qu'il serait " paradoxal et contre nature d'accepter le financement venant d'un pays qui n'accepte pas la liberté religieuse ."
Le Ministre Norvégien des Affaires Etrangères Jonas Gahr Støre a déclaré au Journal VG:
"Nous aurions pu simplement dire Non, le Ministère n'approuve pas. Mais, nous avons profité de l'occasion pour ajouter que l'approbation serait paradoxale, tant que vouloir établir une communauté chrétienne en Arabie Saoudite sera considéré comme un crime ".
Encore une Nouvelle qui nous parvient par le Net.
Elle est pourtant transmise par toutes les agences de presse, mais probablement sur une fréquence que le Service Audiovisuel National Français ni le Service Audiovisuel Belge ne reçoit pas......
Alors Diffusons !
Soyez Acteurs concrètement !
Mosquées en Norvège: Allah bonheur !!!
Le Gouvernement Saoudien et de riches donateurs privés d'Arabie Saoudite, voulaient financer des mosquées en Norvège à hauteur de dizaines de millions d'euros.
Légalement, ils en ont le droit.
Conformément à la Loi Norvégienne, il est permis aux pays étrangers de soutenir financièrement les communautés religieuses, mais vu l'importance de ces sommes, le Gouvernement doit approuver le financement.
Or, le Ministère des Affaires Etrangères vient non seulement de refuser d'approuver ce financement, mais il a également répondu au Centre Islamique Tawfiiq, qu'il serait " paradoxal et contre nature d'accepter le financement venant d'un pays qui n'accepte pas la liberté religieuse ."
Le Ministre Norvégien des Affaires Etrangères Jonas Gahr Støre a déclaré au Journal VG:
"Nous aurions pu simplement dire Non, le Ministère n'approuve pas. Mais, nous avons profité de l'occasion pour ajouter que l'approbation serait paradoxale, tant que vouloir établir une communauté chrétienne en Arabie Saoudite sera considéré comme un crime ".
Encore une Nouvelle qui nous parvient par le Net.
Elle est pourtant transmise par toutes les agences de presse, mais probablement sur une fréquence que le Service Audiovisuel National Français ni le Service Audiovisuel Belge ne reçoit pas......
Alors Diffusons !
Soyez Acteurs concrètement !
vendredi 18 octobre 2013
Le père de Leonarda est un homme violent, affirme un responsable associatif
Gérard Guinot, porte-parole du comité de soutien aux sans-papiers du secteur de Pontarlier, révèle des violences du père Reshat Dibrani envers ses enfants et son épouse.
De nouveaux éléments viennent s'ajouter à l'affaire de l'expulsion de la famille Dibrani, une polémique toujours vive en France. C'est notamment le parcours du père, à Pontarlier (Doubs), qui est désormais scruté. La famille Dibrani a été déboutée de ses demandes de droit d'asile et elle était sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français. Le père, Reshat, qui avait été interpellé à Mulhouse et expulsé le 8 octobre, a affirmé avoir menti aux autorités françaises pour obtenir l'asile, jeudi 17 octobre. Contrairement à ce qu'il affirmait jusqu'à présent, sa femme et ses enfants seraient nés en Italie, et pas au Kosovo.
Gérard Guinot, porte-parole du comité de soutien aux sans-papiers du secteur de Pontarlier, qui s'occupait du dossier de la famille Dibrani, a rencontré une équipe de France 2. Il révèle des violences de Reshat Dibrani envers ses enfants et son épouse. Il en aurait été informé par les enseignants du collège André-Malraux, que Leonarda, 15 ans, fréquentait. L’épouse avait porté plainte avant de la retirer, selon Gérard Guinot.
Gérard Guinot, porte-parole du comité de soutien aux sans-papiers du secteur de Pontarlier, qui s'occupait du dossier de la famille Dibrani, a rencontré une équipe de France 2. Il révèle des violences de Reshat Dibrani envers ses enfants et son épouse. Il en aurait été informé par les enseignants du collège André-Malraux, que Leonarda, 15 ans, fréquentait. L’épouse avait porté plainte avant de la retirer, selon Gérard Guinot.
ILS REVIENNENT AU GALOP
Sharia4Belgium revient sur le web pour lutter contre les "mécréants' occidentaux"
Un an après sa dissolution annoncée sur le web, Sharia4Belgium continue de propager ses idées sur une page Facebook nommée Tawheed4Belgium, rapporte jeudi le Vif/L'Express. Le leader du mouvement, Fouad Belkacem, alias Abu Imran, est toujours écroué à la prison d'Anvers mais la relève du mouvement semble assurée.
Un an après sa dissolution annoncée sur le web, Sharia4Belgium continue de propager ses idées sur une page Facebook nommée Tawheed4Belgium, rapporte jeudi le Vif/L'Express. Le leader du mouvement, Fouad Belkacem, alias Abu Imran, est toujours écroué à la prison d'Anvers mais la relève du mouvement semble assurée.
Tawheed4Belgium a créé un nouveau profil sur Facebook, après une première tentative qui avait été censurée par le réseau social en juillet. Le drapeau de l'organisation Ansar al-Sharia, connue pour être proche du réseau Al-Qaïda, frappé de la maxime « La ilaha illa Allah » (il n'y a de dieu qu'Allah) et sert de photo de profil. Celle de couverture représente quant à elle des combattants plantant un drapeau sous le regard d'Oussama Ben Laden, constate le Vif.
Malgré ce changement de nom, "les principes restent les mêmes" écrit le magazine, puisque "Tawheed4Belgium déclare vouloir éveiller les consciences sur l'oppression dont sont victimes les musulmans".
Appels au jihad
Les différentes publications, rédigées principalement en néerlandais, contiennent surtout "des appels au jihad, diffusés sous plusieurs formes" et les administrateurs vantent les mérites des "jeunes moudjahidines de Syrie", sur une page qui prône "un combat continu contre les 'mécréants' occidentaux".
La page compte actuellement 350 abonnés et attire selon les statistiques rapportées par le Vif principalement des jeunes âgés de 18 à 24 ans originaires d'Anvers. Le groupuscule Sharia4Belgium avait annoncé son démantèlement le 8 octobre 2012 sur internet. Fouad Belkacem, actuellement sous les verrous, a indiqué en juin dernier qu'il irait en cassation contre sa condamnation à 18 mois de prison.
Malgré ce changement de nom, "les principes restent les mêmes" écrit le magazine, puisque "Tawheed4Belgium déclare vouloir éveiller les consciences sur l'oppression dont sont victimes les musulmans".
Appels au jihad
Les différentes publications, rédigées principalement en néerlandais, contiennent surtout "des appels au jihad, diffusés sous plusieurs formes" et les administrateurs vantent les mérites des "jeunes moudjahidines de Syrie", sur une page qui prône "un combat continu contre les 'mécréants' occidentaux".
La page compte actuellement 350 abonnés et attire selon les statistiques rapportées par le Vif principalement des jeunes âgés de 18 à 24 ans originaires d'Anvers. Le groupuscule Sharia4Belgium avait annoncé son démantèlement le 8 octobre 2012 sur internet. Fouad Belkacem, actuellement sous les verrous, a indiqué en juin dernier qu'il irait en cassation contre sa condamnation à 18 mois de prison.
que dire de plus,
on nous demande nous taire,
c'est bien connu,
qui ne dit mot consent
jeudi 17 octobre 2013
pour les retraités et les fonctionnaires
Comment amuser les retraités et les fonctionnaires pendant des heures !
http://img0.liveinternet.ru/images/attach/c/5/3970/3970473_sprite198.swf
bouger votre souris
Pourquoi Leonarda et sa famille ont été expulsées vers le Kosovo , + réaction du ministre,
ou est la réalité,
certains pousse la charrette, d’autre la
tire, en attendant on essaye de tenir debout un système qui bascule depuis 20 ans.
est-ce que c’est
si compliqué que cela de mettre en place une immigration contrôlée où ceux qui
veulent profiter de notre système sont renvoyés chez eux .les frontières qui en réalité n’existent plus de l’Europe sont de vraies passoires pour ceux qui confondent le Belgique avec le village No 1.
que font encore chez nous des individus qui ont été condamnés à plusieurs années de prison ?
que font encore chez nous des individus connus de la police pour + de 15 méfait ou condamnations, violence, drogue, agression .
pas facile à
comprendre !!!!!!
mercredi 16 octobre 2013
Victoire FN à Brignoles :
"Les politiques n'ont que ce qu'ils méritent",
juge Wauquiez !
Moi Président, j’aurais plutôt dit, il faut moins d’agresseurs.
juge Wauquiez !
moi je veux bien, il a raison, mais le malaise ne s’arrête
pas là où lui s’arrête, le succès de madame Le Pen est aussi du à ce qu’elle va
plus loin et crie bien haut ce que d’autre dénonce du bout des lèvres.
Monsieur Hollande a parlé voici quelques jours que pour
changer les choses vis-a-vis du FN , il faut plus de sécurité.Moi Président, j’aurais plutôt dit, il faut moins d’agresseurs.
José Mujica, chef d'Etat le plus modeste du monde
Elu il y a quatre ans, cet ancien ministre de l'Agriculture a reçu les équipes de France 2 chez lui, en survêtement. "Cela fait 28 ans que je vis là", dit-il. Et autant d'années qu'il n'a rien changé à son mode de vie. Comme autrefois, il boit le maté, infusion d'herbe très populaire en Uruguay. Et rentre tous les soirs dans sa ferme. "Il existe bien une maison pour le président avec un parc, et tout ce qui va avec : insupportable. Si tu veux une tasse de thé, il faut marcher 200 mètres." José Mujica n'accepte que 1 000 euros sur les 9 000 que constituent le salaire normal du chef de l'Etat, dans ce pays. Rencontre avec cet homme engagé et surprenant.
Moralité, on peut être modeste et vivre normalement et être
un bon politicien, comme on peut être un m’as-tu-vu et gagné 20 x ce que touche un demandeur d’emploi
ou 10 x ce que touche un ouvrier consciencieux, et être un politicien de la pire espèce.
Je trouve que pour récompenser ce brave homme on devrait lui offrir une journée
à Lasne.
LLB - Voici l'homme dont le visage se doit d'être connu et reconnu
Et voici ceux dont on a marre de voir la tête
LLB - Voici l'homme dont le visage se doit d'être connu et reconnu
Et voici ceux dont on a marre de voir la tête
mardi 15 octobre 2013
80 agents pour 5 arrestations - sécurité vous avez dit sécurité
http://be.msn.com/
Affrontements à Houthalen - La chambre du conseil de Hasselt confirme cinq mandats d'arrêt
La chambre du conseil de Hasselt a confirmé mardi les mandats d'arrêt de cinq suspects arrêtés la semaine dernière pour rébellion armée et coups portés à des agents de police dans le quartier Meulenberg, à Houthalen-Helchteren, où des violences avaient éclaté vendredi à la suite de l'arrestation d'un habitant. Les cinq mandats d'arrêts confirmés concernent le jeune homme de 19 ans visé par l'arrestation initiale, ses trois frères et son père âgé de 68 ans.
Ugur A., 19 ans, avait été condamné par défaut à une peine de sept mois de prison. Des policiers étaient descendus vendredi après-midi dans le quartier du Meulenberg avec l'ordre d'exécuter son mandat d'arrêt. Mais le jeune s'était rebellé, de même que des membres de sa famille et des proches. Le suspect avait ensuite réussi à prendre la fuite et les agents avaient dû rebrousser chemin. Un plan policier d'intervention impliquant quelque 80 agents avait alors été décrété. Cette intervention a permis d'interpeller quatre proches du suspect, avant d'arrêter ce dernier un peu plus tard. Un policier avait été grièvement blessé et un autre légèrement.
Ce n'est plus à de la rébellion auxquels les policiers ont dù faire face mais à une vendetta.
MAW .
quand de tels incidents arrivent des douzaines de fois par mois,
c’est la Belgique qui a un gros problème.
ce qui est inquiétant, c’est quand ce genre de chose se répète
depuis des années et qu’on cherche encore toujours la solution.
Affrontements à Houthalen - La chambre du conseil de Hasselt confirme cinq mandats d'arrêt
La chambre du conseil de Hasselt a confirmé mardi les mandats d'arrêt de cinq suspects arrêtés la semaine dernière pour rébellion armée et coups portés à des agents de police dans le quartier Meulenberg, à Houthalen-Helchteren, où des violences avaient éclaté vendredi à la suite de l'arrestation d'un habitant. Les cinq mandats d'arrêts confirmés concernent le jeune homme de 19 ans visé par l'arrestation initiale, ses trois frères et son père âgé de 68 ans.
Ugur A., 19 ans, avait été condamné par défaut à une peine de sept mois de prison. Des policiers étaient descendus vendredi après-midi dans le quartier du Meulenberg avec l'ordre d'exécuter son mandat d'arrêt. Mais le jeune s'était rebellé, de même que des membres de sa famille et des proches. Le suspect avait ensuite réussi à prendre la fuite et les agents avaient dû rebrousser chemin. Un plan policier d'intervention impliquant quelque 80 agents avait alors été décrété. Cette intervention a permis d'interpeller quatre proches du suspect, avant d'arrêter ce dernier un peu plus tard. Un policier avait été grièvement blessé et un autre légèrement.
Ce n'est plus à de la rébellion auxquels les policiers ont dù faire face mais à une vendetta.
MAW .
si se genre d’incidents
arrive une ou deux fois pas mois ,
les coupables des incidents
aurons un gros problème.quand de tels incidents arrivent des douzaines de fois par mois,
c’est la Belgique qui a un gros problème.
ce qui est inquiétant, c’est quand ce genre de chose se répète
depuis des années et qu’on cherche encore toujours la solution.
Fête de l'Aïd
http://www.rtbf.be/info
Cet abattage commémore l’épisode d'Ibrahim (Abraham dans la Bible) à qui Dieu avait ordonné d’exécuter son fils. Il testait sa soumission avant d’y substituer un bélier au tout dernier moment. Cette fête du sacrifice représente aujourd’hui des jours de fête et de partage entre musulmans et non-musulmans.
Taner Yurdakul, membre de la Fédération islamique de Belgique, explique la signification de cette grande fête musulmane : "Pour les musulmans, il y a deux fêtes très importantes : la fête du Ramadan et la fête du Sacrifice. L’Aïd est une fête durant laquelle il y a le sacrifice d’un mouton ou d’un bœuf ou d’un animal encore plus important, comme un chameau, dans certains pays. C’est un rite qui va se faire après la prière de la fête du Sacrifice, qui aura lieu à 8h45. Tous les fidèles rentreront chez eux et iront accomplir le sacrifice d’une bête. Le sacrifice représente la soumission à Dieu. C’est aussi une reconnaissance de la clémence de Dieu, mais avant tout, une soumission totale".
Après le sacrifice, la viande est cuisinée, les communautés se retrouvent et une partie de la viande est redistribuée aux voisins, qu’ils soient musulmans ou non. Ces voisins sont invités à prendre part à la fête et des cadeaux sont distribués aux enfants.
"C’est un moyen propice pour partager avec les autres cultures et les autres religions. C’est une bonne façon pour nous de faire connaître notre religion et nos différentes fêtes. En général, cette fête est très bien ressentie, reçue et respectée dans la communauté", ajoute Taner Yurdakul.
Cindy Ferrière et Alain Vaessen
Bonne fête
Aïd el Kebir: jour de fête et de partage pour les musulmans
C’est aujourd’hui que les Musulmans débutent la fête de l'Aïd (el Kebir), appelée aussi la fête du Sacrifice. C'est la deuxième fête de l'Islam, après la fête de fin du Ramadan, célébrée par l'abattage traditionnel d'un animal. Mais également par des jours de fête et de partage.Cet abattage commémore l’épisode d'Ibrahim (Abraham dans la Bible) à qui Dieu avait ordonné d’exécuter son fils. Il testait sa soumission avant d’y substituer un bélier au tout dernier moment. Cette fête du sacrifice représente aujourd’hui des jours de fête et de partage entre musulmans et non-musulmans.
Taner Yurdakul, membre de la Fédération islamique de Belgique, explique la signification de cette grande fête musulmane : "Pour les musulmans, il y a deux fêtes très importantes : la fête du Ramadan et la fête du Sacrifice. L’Aïd est une fête durant laquelle il y a le sacrifice d’un mouton ou d’un bœuf ou d’un animal encore plus important, comme un chameau, dans certains pays. C’est un rite qui va se faire après la prière de la fête du Sacrifice, qui aura lieu à 8h45. Tous les fidèles rentreront chez eux et iront accomplir le sacrifice d’une bête. Le sacrifice représente la soumission à Dieu. C’est aussi une reconnaissance de la clémence de Dieu, mais avant tout, une soumission totale".
Après le sacrifice, la viande est cuisinée, les communautés se retrouvent et une partie de la viande est redistribuée aux voisins, qu’ils soient musulmans ou non. Ces voisins sont invités à prendre part à la fête et des cadeaux sont distribués aux enfants.
"C’est un moyen propice pour partager avec les autres cultures et les autres religions. C’est une bonne façon pour nous de faire connaître notre religion et nos différentes fêtes. En général, cette fête est très bien ressentie, reçue et respectée dans la communauté", ajoute Taner Yurdakul.
Cindy Ferrière et Alain Vaessen
Bonne fête
Un rituel d’un autre âge
attention, cette vidéo est cruelle et
barbare,
a déconseillé aux gens sensibles
Interdit même si ...
http://www.lexpress.fr/
Un père condamné pour une fessée à son fils de 9 ans
Le tribunal correctionnel de Limoges a condamné un père à 500 euros d'amende avec sursis pour avoir donné une fessée "cul nu" à son enfant, âgé de 9 ans, et 150 euros à la mère, représentant légal, pour le préjudice moral.
Ça fait cher de la fessée... Un père a été condamné à 500 euros d'amende avec sursis et 150 euros à la mère pour préjudice moral par le tribunal correctionnel de Limoges pour une fessée donnée "cul nu" à son enfant, âgé de 9 ans.
Le jugement, rapporté ce lundi par Le Populaire du Centre, concerne un enfant "particulièrement difficile et qui tenait tête à son père en pleine séparation très conflictuelle avec la mère", d'après les propos de l'avocat du père, Me Anne-Laure Catherinot, qui concède le "côté humiliant" de la punition. "C'est une violence [...] doublée d'un acte humiliant pour l'enfant", a expliqué la présidente Estelle Lamotte-Genet.
Le père invoque le fait que son fils ne lui disait plus bonjour. "Je lui ai demandé pourquoi et il m'a répondu qu'il n'en avait pas envie", a-t-il expliqué, avant d'ajouter: "Je lui ai dit qu'il me devait le respect et oui, je lui ai donné une fessée", selon le quotidien. L'homme disait "subir la mode actuelle qui veut qu'on ne corrige pas ses enfants".
J'en déduis que l'enfant a déposé plainte. Je ne cautionne pas la fessée "cul nu" mais je vous avoue que lorsque j'avais 9 ans, je n'aurais jamais osée dire à mon père : je n'ai pas envie de te dire bonjour. Le père est condamné, la mère est condamné, le fils n'aura plus aucune sanction, il pourra faire la fiesta jusqu'à ......
Tout est permis aux enfants, tout est interdit aux parents. Le jour, où le gosse dérapera, les parents seront fautifs pour n'avoir pas su éduquer leur enfant. Compliqué, vous avez dit compliqué.
Un père condamné pour une fessée à son fils de 9 ans
Le tribunal correctionnel de Limoges a condamné un père à 500 euros d'amende avec sursis pour avoir donné une fessée "cul nu" à son enfant, âgé de 9 ans, et 150 euros à la mère, représentant légal, pour le préjudice moral.
Ça fait cher de la fessée... Un père a été condamné à 500 euros d'amende avec sursis et 150 euros à la mère pour préjudice moral par le tribunal correctionnel de Limoges pour une fessée donnée "cul nu" à son enfant, âgé de 9 ans.
Le jugement, rapporté ce lundi par Le Populaire du Centre, concerne un enfant "particulièrement difficile et qui tenait tête à son père en pleine séparation très conflictuelle avec la mère", d'après les propos de l'avocat du père, Me Anne-Laure Catherinot, qui concède le "côté humiliant" de la punition. "C'est une violence [...] doublée d'un acte humiliant pour l'enfant", a expliqué la présidente Estelle Lamotte-Genet.
Le père invoque le fait que son fils ne lui disait plus bonjour. "Je lui ai demandé pourquoi et il m'a répondu qu'il n'en avait pas envie", a-t-il expliqué, avant d'ajouter: "Je lui ai dit qu'il me devait le respect et oui, je lui ai donné une fessée", selon le quotidien. L'homme disait "subir la mode actuelle qui veut qu'on ne corrige pas ses enfants".
J'en déduis que l'enfant a déposé plainte. Je ne cautionne pas la fessée "cul nu" mais je vous avoue que lorsque j'avais 9 ans, je n'aurais jamais osée dire à mon père : je n'ai pas envie de te dire bonjour. Le père est condamné, la mère est condamné, le fils n'aura plus aucune sanction, il pourra faire la fiesta jusqu'à ......
Tout est permis aux enfants, tout est interdit aux parents. Le jour, où le gosse dérapera, les parents seront fautifs pour n'avoir pas su éduquer leur enfant. Compliqué, vous avez dit compliqué.
Sanctions
http://www.7sur7.be/
Les étudiants responsables du baptême de Marche seront inculpés
Le Procureur général de Liège, Christian De Valkeneer, a décidé de hausser le ton en matière de baptêmes estudiantins, affirmant qu'"il y a une ligne rouge à ne pas franchir". Il poursuivra les organisateurs du baptême de Marche lors duquel une jeune étudiante française a été victime d'un oedème cérébral après avoir bu trop d'eau, révèle mardi Sudpresse.
"Suite à la plainte des parents de la jeune Fanny, un dossier est ouvert à l'instruction à Marche", confirme-t-il dans une interview aux journaux de Sudpresse. "La PJ s'occupe actuellement de recueillir tous les éléments et il y aura vraisemblablement des inculpations dans cette affaire. Et assez rapidement."
Les organisateurs de ce baptême pourrait être poursuivis pour traitement dégradant et inhumain ou pour coups et blessures, "volontaire ou non", ayant entraîné une incapacité temporaire ou permanente, souligne M. De Valkeneere.
"Je veux envoyer un message très clair à tous ceux qui organisent des baptêmes. Je ne veux pas du tout déclarer la guerre au folklore estudiantin, mais il faut rester dans les limites du raisonnable", ajoute le Procureur général de Liège. "Il faut qu'ils sachent qu'ils ne vivent pas dans un univers sans loi, où tout est permis. Et c'est à la justice à tracer la ligne rouge qu'il ne faut pas franchir. Au-delà de cette ligne, il faut qu'ils sachent que leur responsabilité pénale est engagée et qu'ils sont passibles de poursuites devant les tribunaux".
Ne vous en déplaise l'élite française, nous pouvons nous débrouiller sans vous, un Procureur liégeois a pris une décision, cela change tout.
Les étudiants responsables du baptême de Marche seront inculpés
Le Procureur général de Liège, Christian De Valkeneer, a décidé de hausser le ton en matière de baptêmes estudiantins, affirmant qu'"il y a une ligne rouge à ne pas franchir". Il poursuivra les organisateurs du baptême de Marche lors duquel une jeune étudiante française a été victime d'un oedème cérébral après avoir bu trop d'eau, révèle mardi Sudpresse.
"Suite à la plainte des parents de la jeune Fanny, un dossier est ouvert à l'instruction à Marche", confirme-t-il dans une interview aux journaux de Sudpresse. "La PJ s'occupe actuellement de recueillir tous les éléments et il y aura vraisemblablement des inculpations dans cette affaire. Et assez rapidement."
Les organisateurs de ce baptême pourrait être poursuivis pour traitement dégradant et inhumain ou pour coups et blessures, "volontaire ou non", ayant entraîné une incapacité temporaire ou permanente, souligne M. De Valkeneere.
"Je veux envoyer un message très clair à tous ceux qui organisent des baptêmes. Je ne veux pas du tout déclarer la guerre au folklore estudiantin, mais il faut rester dans les limites du raisonnable", ajoute le Procureur général de Liège. "Il faut qu'ils sachent qu'ils ne vivent pas dans un univers sans loi, où tout est permis. Et c'est à la justice à tracer la ligne rouge qu'il ne faut pas franchir. Au-delà de cette ligne, il faut qu'ils sachent que leur responsabilité pénale est engagée et qu'ils sont passibles de poursuites devant les tribunaux".
Ne vous en déplaise l'élite française, nous pouvons nous débrouiller sans vous, un Procureur liégeois a pris une décision, cela change tout.
Tout change
http://www.7sur7.be/
"Les Champs-Elysées? Trop cher, vulgaire et ringard"
Céline Bayet
Les Champs-Elysées ne font plus rêver. La "plus belle avenue du monde" a perdu de son prestige et serait désormais fuie des Parisiens.
La célèbre avenue chantée par Joe Dassin aurait-elle perdu de sa superbe? C'est en tout cas le constat que vient de faire Hugh Schofield, le correspondant de chaîne britannique BBC à Paris. Et celui qui réside dans la capitale française depuis plus de 20 ans ne mâche pas ses mots, selon lui cette artère est "vulgaire, sans style, chère et ringarde".
"La plupart des Parisiens ne vont pas aux Champs-Elysées (sauf peut-être à Noël pour voir les lumières). Ils savent que l'avenue est noire de monde, stressante, trop chère, bref un endroit où les gens qui ne sont pas de la ville viennent contempler un Paris imaginaire qui n'existe pas", lance-t-il. Un sombre protrait relayé par le site Slate.
Et le journaliste de la BBC va plus loin. Selon lui, les Champs-Elysées sont devenus un lieu où l'on retrouve des voitures sportives de luxe couleur fluo à la cocaïne, la violence et la musique électronique jouée à plein tubes", poursuit-il en prenant l'exemple notamment de la rue de Ponthieu "cette petite rue qui part de l'avenue et qui, malgré les origines que son nom romantique puise dans un duché du nord de la France qui était jadis l'apanage des rois médiévaux d'Angleterre, abrite aujourd'hui une rangée de boîtes de nuit fréquentées par des footballeurs, des banlieusards qui ont fait fortune dans la drogue et les escort girls".
L'avenue parisienne ne fait donc plus rêver les anglo-saxons semble-t-il. Le quotidien américain le New York Times l'a également raillée dans un article paru il y a plusieurs mois en la qualifiant de "centre commercial envahi par les enseignes américaines et que les Parisiens fuyaient désormais".
En mai dernier, la ville de Bruxelles avait elle aussi été victime d'un portrait peu flatteur de la part du journaliste français de Libération Jean Quatremer. Dans un article intitulé "Bruxelles, pas belle", celui-ci avait descendu en flèche la capitale belge la décrivant comme une ville "laide et sale".
Pas d'inquiétude d'autres grandes villes suivront.
Personnellement, je préfère Montmartre aux Champs-Elysées.
"Les Champs-Elysées? Trop cher, vulgaire et ringard"
Céline Bayet
Les Champs-Elysées ne font plus rêver. La "plus belle avenue du monde" a perdu de son prestige et serait désormais fuie des Parisiens.
La célèbre avenue chantée par Joe Dassin aurait-elle perdu de sa superbe? C'est en tout cas le constat que vient de faire Hugh Schofield, le correspondant de chaîne britannique BBC à Paris. Et celui qui réside dans la capitale française depuis plus de 20 ans ne mâche pas ses mots, selon lui cette artère est "vulgaire, sans style, chère et ringarde".
"La plupart des Parisiens ne vont pas aux Champs-Elysées (sauf peut-être à Noël pour voir les lumières). Ils savent que l'avenue est noire de monde, stressante, trop chère, bref un endroit où les gens qui ne sont pas de la ville viennent contempler un Paris imaginaire qui n'existe pas", lance-t-il. Un sombre protrait relayé par le site Slate.
Et le journaliste de la BBC va plus loin. Selon lui, les Champs-Elysées sont devenus un lieu où l'on retrouve des voitures sportives de luxe couleur fluo à la cocaïne, la violence et la musique électronique jouée à plein tubes", poursuit-il en prenant l'exemple notamment de la rue de Ponthieu "cette petite rue qui part de l'avenue et qui, malgré les origines que son nom romantique puise dans un duché du nord de la France qui était jadis l'apanage des rois médiévaux d'Angleterre, abrite aujourd'hui une rangée de boîtes de nuit fréquentées par des footballeurs, des banlieusards qui ont fait fortune dans la drogue et les escort girls".
L'avenue parisienne ne fait donc plus rêver les anglo-saxons semble-t-il. Le quotidien américain le New York Times l'a également raillée dans un article paru il y a plusieurs mois en la qualifiant de "centre commercial envahi par les enseignes américaines et que les Parisiens fuyaient désormais".
En mai dernier, la ville de Bruxelles avait elle aussi été victime d'un portrait peu flatteur de la part du journaliste français de Libération Jean Quatremer. Dans un article intitulé "Bruxelles, pas belle", celui-ci avait descendu en flèche la capitale belge la décrivant comme une ville "laide et sale".
AVANT |
APRES |
Personnellement, je préfère Montmartre aux Champs-Elysées.
La faute à qui?
http://www.lalibre.be/
Le curé de Loyers n’était pas un saint
JACQUES LARUELLE
Curé sous un nom, assistant social sous un autre, Edouard était aussi père.
Jusque mars 2010, Edouard Kabongo était un homme fort occupé. Maintenant, expliquait-il hier devant le tribunal correctionnel de Namur, devant lequel il comparaît pour faux, usage et escroquerie, “je ne fais rien. J’essaie de trouver du travail”.
La vie réglée de cet homme né au Congo il y a 55 ans s’est écroulée comme un château de cartes il y a trois ans et demi. Il avait alors dû troquer sans gloire son presbytère de Loyers, où il animait la paroisse locale, pour une cellule de la prison de Namur.
Il y restera deux mois, le temps pour la justice de commencer à faire la lumière sur sa double vie. Edouard Kabongo n’était en effet pas que prêtre. Il avait bien officié à Grand-Leez, avant Sauvenière, Rochehaut, Vivy, Rossart, Orgeo avant d’aboutir, en 2007, à la paroisse Saint-Sébastien de Loyers.
Mais ce que les fidèles ne savaient pas, c’était qu’il était aussi assistant social depuis 2009 au CPAS de Schaerbeek. Ils ignoraient également qu’il avait une femme – et trois enfants – installés à Zemst dans le Brabant flamand. Ce qui peut expliquer que ses paroissiens, tombés des nues à cette annonce, le trouvaient parfois un peu pressé ou expéditif lors des offices.
Il n’y aurait là rien de répréhensible pénalement si ce n’était sous deux identités différentes. Et aussi si, avant d’occuper ses deux emplois – son office de prêtre était rémunéré 1 600 euros par mois – il ne touchait pas indûment des allocations de plusieurs CPAS. Koekelberg, Ixelles et Schaerbeek lui réclament aujourd’hui une note de 80 000 euros.
D’autres CPAS – Walcourt et Courcelles – ont également été abusés par sa femme, épousée selon des rites coutumiers au Congo. Elle l’a dit hier au tribunal. De quatre ans sa cadette, Muyadi Manzila, affirme qu’elle l’avait connu alors qu’il était prêtre au Congo. Il lui a fait un premier enfant : ce serait pour éviter le scandale qu’elle aurait rejoint la Belgique.
Edouard Kabongo arrive, lui, en Belgique en 1997 après une demande d’asile introduite deux ans plus tôt. Il s’appelle Kapenda Kabongo. Le 15 octobre 1999, le vrai Edouard Kabongo arrive en Belgique comme prêtre, avec un doctorat de théologie obtenu à Fribourg.
L’enquête montrera qu’à côté de ses activités belges, il effectue aussi des remplacements en tant que prêtre dans le diocèse de Fribourg. En 2004, Kapenda Kabongo, qui a été reconnu réfugié politique, obtient la nationalité belge. Trois ans plus tard, c’est Edouard Kabongo qui devient belge.
Il avait ainsi deux cartes d’identité. Qui lui ont permis, a relevé le procureur Serge Mottiaux qui a requis deux ans de prison, de mettre en place “cette mécanique bien huilée”. Et aussi de gratter de l’argent à ses paroissiens sous couvert d’œuvres sociales à Kinshasa qui n’ont jamais existé.
Ce que conteste Edouard Kabongo. Il ne reconnaît pas les faux. Il attribue ses deux prétendues identités à la zaïrianisation : Kapenda est le prénom qu’il a dû prendre au milieu des années 1970 avant de revenir à Edouard, son nom de baptême. “Quand j’ai obtenu deux cartes identités différentes, je n’ai pas pu revenir en arrière”, dit-il, en soulignant que “le parcours du demandeur d’asile est une vraie galère” et qu’il a dû y avoir des erreurs à l’Office des étrangers ou à la commune.
Il reconnaît seulement avoir perçu indûment des allocations du CPAS quand il était demandeur d’asile “pour pouvoir mener à bien mes études d’assistant social pour pouvoir être utile à la société”. Ce que ne croit pas la défense du CPAS d’Ixelles qui a fait remarquer qu’il a tenté d’obtenir un “article 60”, emploi qui ouvre après un an le droit aux allocations de chômage.
Jugement le 18 novembre.
Son acte est répréhensible mais, même si, il a mal agi, il n'a été qu'un escroc au service des gens. Combien de "Kabongo" mènent une vie double, triple, etc ... en Belgistan. Il y a eu des précédents, il est vrai qu'ils étaient soit inscrit dans différents CPAS, soit dans différents bureaux de chômage, que sont ils, donc, devenus?
Le curé de Loyers n’était pas un saint
JACQUES LARUELLE
Curé sous un nom, assistant social sous un autre, Edouard était aussi père.
Jusque mars 2010, Edouard Kabongo était un homme fort occupé. Maintenant, expliquait-il hier devant le tribunal correctionnel de Namur, devant lequel il comparaît pour faux, usage et escroquerie, “je ne fais rien. J’essaie de trouver du travail”.
La vie réglée de cet homme né au Congo il y a 55 ans s’est écroulée comme un château de cartes il y a trois ans et demi. Il avait alors dû troquer sans gloire son presbytère de Loyers, où il animait la paroisse locale, pour une cellule de la prison de Namur.
Il y restera deux mois, le temps pour la justice de commencer à faire la lumière sur sa double vie. Edouard Kabongo n’était en effet pas que prêtre. Il avait bien officié à Grand-Leez, avant Sauvenière, Rochehaut, Vivy, Rossart, Orgeo avant d’aboutir, en 2007, à la paroisse Saint-Sébastien de Loyers.
Mais ce que les fidèles ne savaient pas, c’était qu’il était aussi assistant social depuis 2009 au CPAS de Schaerbeek. Ils ignoraient également qu’il avait une femme – et trois enfants – installés à Zemst dans le Brabant flamand. Ce qui peut expliquer que ses paroissiens, tombés des nues à cette annonce, le trouvaient parfois un peu pressé ou expéditif lors des offices.
Il n’y aurait là rien de répréhensible pénalement si ce n’était sous deux identités différentes. Et aussi si, avant d’occuper ses deux emplois – son office de prêtre était rémunéré 1 600 euros par mois – il ne touchait pas indûment des allocations de plusieurs CPAS. Koekelberg, Ixelles et Schaerbeek lui réclament aujourd’hui une note de 80 000 euros.
D’autres CPAS – Walcourt et Courcelles – ont également été abusés par sa femme, épousée selon des rites coutumiers au Congo. Elle l’a dit hier au tribunal. De quatre ans sa cadette, Muyadi Manzila, affirme qu’elle l’avait connu alors qu’il était prêtre au Congo. Il lui a fait un premier enfant : ce serait pour éviter le scandale qu’elle aurait rejoint la Belgique.
Edouard Kabongo arrive, lui, en Belgique en 1997 après une demande d’asile introduite deux ans plus tôt. Il s’appelle Kapenda Kabongo. Le 15 octobre 1999, le vrai Edouard Kabongo arrive en Belgique comme prêtre, avec un doctorat de théologie obtenu à Fribourg.
L’enquête montrera qu’à côté de ses activités belges, il effectue aussi des remplacements en tant que prêtre dans le diocèse de Fribourg. En 2004, Kapenda Kabongo, qui a été reconnu réfugié politique, obtient la nationalité belge. Trois ans plus tard, c’est Edouard Kabongo qui devient belge.
Il avait ainsi deux cartes d’identité. Qui lui ont permis, a relevé le procureur Serge Mottiaux qui a requis deux ans de prison, de mettre en place “cette mécanique bien huilée”. Et aussi de gratter de l’argent à ses paroissiens sous couvert d’œuvres sociales à Kinshasa qui n’ont jamais existé.
Ce que conteste Edouard Kabongo. Il ne reconnaît pas les faux. Il attribue ses deux prétendues identités à la zaïrianisation : Kapenda est le prénom qu’il a dû prendre au milieu des années 1970 avant de revenir à Edouard, son nom de baptême. “Quand j’ai obtenu deux cartes identités différentes, je n’ai pas pu revenir en arrière”, dit-il, en soulignant que “le parcours du demandeur d’asile est une vraie galère” et qu’il a dû y avoir des erreurs à l’Office des étrangers ou à la commune.
Il reconnaît seulement avoir perçu indûment des allocations du CPAS quand il était demandeur d’asile “pour pouvoir mener à bien mes études d’assistant social pour pouvoir être utile à la société”. Ce que ne croit pas la défense du CPAS d’Ixelles qui a fait remarquer qu’il a tenté d’obtenir un “article 60”, emploi qui ouvre après un an le droit aux allocations de chômage.
Jugement le 18 novembre.
Son acte est répréhensible mais, même si, il a mal agi, il n'a été qu'un escroc au service des gens. Combien de "Kabongo" mènent une vie double, triple, etc ... en Belgistan. Il y a eu des précédents, il est vrai qu'ils étaient soit inscrit dans différents CPAS, soit dans différents bureaux de chômage, que sont ils, donc, devenus?
Un syndicaliste d'ArcelorMittal se suicide et dénonce Mittal
Dans sa lettre, l'homme de 45 ans pointe
aussi du doigt les autorités politiques.
Alain Vigneron, un travailleur d'ArcelorMittal militant au sein de la FGTB, a mis fin à ses jours samedi en région liégeoise, deux ans jour pour jour après l'annonce de la fin de la phase à chaud à Liège. Dans une lettre d'adieu, il dénonce le comportement de Lakshmi Mittal et l'inaction des autorités publiques, révèlent mardi SudPresse, Le Soir et Het Nieuwsblad. L'homme laisse derrière lui une femme, dont il était récemment séparé, et une fille. "Ma petite femme et ma fille, je veux que vous sachiez que je vous aime mais Monsieur Mittal m'a tout repris: la fierté, la politesse et le courage de me battre pour ma famille", écrit notamment Alain Vigneron.
Dans sa lettre, l'homme de 45 ans pointe aussi du doigt les autorités politiques: "Je me bats depuis 31 ans... Cher gouvernement, allez-vous enfin sauver les milliers d'emplois des familles qui en valent la peine? "
Alain Vigneron a émis le souhait que ses derniers mots soient lus lors de ses funérailles afin de sensibiliser la population au sort des travailleurs d'ArcelorMittal.
La Belgique piège deux chefs pirates somaliens grâce à un faux film
les unités spéciales belges leur ont fait croire
qu'ils allaient participer à un film sur la piraterie.
ls se sont jetés dans la gueule du loup. Deux importants pirates somaliens ont été cueillis samedi par la police belge à l'aéroport de Bruxelles, où ils venaient d'atterrir, croyant se rendre en Belgique pour participer à la réalisation d'un film sur la piraterie, a révélé lundi 14 octobre le procureur fédéral belge, Johan Delmulle.
Pourquoi les deux pirates somaliens ont-ils été arrêtés ?
Les deux hommes étaient à bord d'un avion en provenance de Nairobi, au Kenya. Mohamed Abdi Hassan, alias Afweyne ("Grande Gueule" en somali), a été interpellé, de même que son homme de confiance et compagnon de voyage, Mohammed M. Aden, surnommé "Tiiceey", ancien gouverneur de la province somalienne de l'Himan et Heeb (centre). Ils ont tous deux été inculpés de "détournement" et "prise d'otages" du navire belge Pompéi et participation à une "organisation criminelle", avant d'être incarcérés.
Ces arrestations sont le fruit d'une longue instruction menée depuis Bruges à la suite du détournement, en 2009, du navire belge Le Pompéi, pendant plus de 70 jours au large de la Somalie. Deux pirates somaliens ayant participé à l'arraisonnement du navire, libéré contre une rançon estimée à 2 millions d'euros par la presse belge, ont déjà été condamnés à Bruxelles à des peines de neuf et dix ans de prison.
Mais le parquet fédéral entendait ne pas se limiter aux "sous-fifres". Il a décidé de se lancer à la poursuite des dirigeants, qui commanditent ou organisent ces opérations de piraterie et empochent la majeure partie des rançons, a souligné le haut magistrat belge.
Comment la justice belge les a-t-elle piégés ?
L'arrestation d'Afweyne a été difficile à réaliser. L'homme, résidant en Somalie, se montrait "très méfiant" et "voyageait peu", a détaillé le procureur. Les "unités spéciales"de la police belge ont donc "élaboré une opération d'infiltration" pour le faire sortir du pays et l'interpeller. "Le plan consistait à approcher Afweyne par l'intermédiaire de son complice Tiiceey, à qui il faisait confiance". L'ancien chef pirate "a été sollicité via Tiiceey pour collaborer en tant que conseiller et expert à un projet de film sur la piraterie maritime". "Ce film devait soi-disant refléter sa vie de pirate", a expliqué le procureur.
Après "plusieurs mois" de patientes tractations, les deux hommes ont finalement mordu à l'hameçon. "Afweyne et Tiiceey sont arrivés pour signer le contrat en Belgique. Ils y étaient attendus", s'est félicité le magistrat.
Que sait-on des deux hommes ?
"Afweyne", qui avait annoncé en janvier sa retraite, est considéré par le Groupe de contrôle de l'ONU sur la Somalie et l'Erythrée comme "l'un des dirigeants les plus notoires et les plus influents du réseau de piraterie Hobyo-Harardheere", l'une des deux principales organisations pirates somaliennes. Il était dès lors dans le viseur des enquêteurs belges. "Certains éléments de l'enquête permettent de supposer qu'il a joué un rôle central" lors de la prise du Pompéi, "entre autres en tant qu'organisateur et financier", selon le magistrat.
Mohamed Abdi Hassan est considéré comme l'un des cerveaux qui sont responsables du détournement de "dizaines de navires marchands de 2008 à 2013", a également souligné le procureur. "Tiiceey" est soupçonné d'avoir "activement soutenu" ses activités.
Deux autres des captures les plus spectaculaires de la piraterie moderne somalienne sont attribuées à Afweyne. Celle, en septembre 2008, du Faina, un cargo ukrainien chargé d'armes, notamment de chars d'assaut, systèmes de défense anti-aérienne, lance-roquettes et munitions. Et surtout, deux mois plus tard, celle du superpétrolier saoudien Sirius Star, mastodonte long de 330 mètres et transportant deux millions de barils de brut, une cargaison évaluée à 100 millions de dollars.
n’en déplaise aux droits des bonshommes
Un grand bravo a ceux qui l’ont chopé .
Si Ségolène s'en mêle !!
http://www.7sur7.be/
Royal demande à Di Rupo d'interdire les baptêmes étudiants
L'ancienne ministre française de l'Enseignement a sollicité notre premier ministre pour rendre le bizutage hors-la-loi!
L'accident survenu lors d'un week-end de bleusaille à Marche en-Famenne, fin septembre, a relancé le débat sur les excès liés à ce genre d'activité. Pour rappel, une jeune étudiante en vétérinaire de l'Université de Liège (ULg) est restée dans le coma pendant deux jours suite à une intoxication à... l'eau.
Si le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a décidé de ne pas légiférer en la matière, le premier ministre belge, Elio Di Rupo, a quant à lui été invité à réfléchir à la question. À la demande d'une certaine... Ségolène Royal. Dans une lettre, datée du 8 octobre et dont La Libre Belgique s'est procuré une copie ce lundi, l'ancienne candidate à la présidence de la République française appelle Di Rupo à légiférer en vue d'interdire les baptêmes estudiantins, qualifiés de "violences d'un autre âge".
Le baptême n'est pas une obligation, cela fait partie d'un rituel avec, malheureusement, des abus. SVP, Madame Royal, on a déjà assez de ministres, alors pas de conseil, pas de demande, même si de nombreux étudiants français sont dans nos universités.
Royal demande à Di Rupo d'interdire les baptêmes étudiants
L'ancienne ministre française de l'Enseignement a sollicité notre premier ministre pour rendre le bizutage hors-la-loi!
L'accident survenu lors d'un week-end de bleusaille à Marche en-Famenne, fin septembre, a relancé le débat sur les excès liés à ce genre d'activité. Pour rappel, une jeune étudiante en vétérinaire de l'Université de Liège (ULg) est restée dans le coma pendant deux jours suite à une intoxication à... l'eau.
Si le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a décidé de ne pas légiférer en la matière, le premier ministre belge, Elio Di Rupo, a quant à lui été invité à réfléchir à la question. À la demande d'une certaine... Ségolène Royal. Dans une lettre, datée du 8 octobre et dont La Libre Belgique s'est procuré une copie ce lundi, l'ancienne candidate à la présidence de la République française appelle Di Rupo à légiférer en vue d'interdire les baptêmes estudiantins, qualifiés de "violences d'un autre âge".
Le baptême n'est pas une obligation, cela fait partie d'un rituel avec, malheureusement, des abus. SVP, Madame Royal, on a déjà assez de ministres, alors pas de conseil, pas de demande, même si de nombreux étudiants français sont dans nos universités.
22 les vla!!!!
http://www.lavenir.net/
Les policiers promettent de bloquer Bruxelles le 23 octobre
BRUXELLES - Ils vont descendre en rue. Pas pour régler la circulation mais pour la bloquer. Les policiers en ont ras-le-bol. Le mercredi 23 octobre, ils vont cheminer de la Colonne du Congrès jusqu’au 16 de la rue de la Loi, mais pas au pas de course.
Les quatres syndicats des policiers (SLFP, CGSP, S NPS et CSC) ont pris cette décision, lundi en fin d’après-midi. Le motif principal de leur courroux comme l’explique Stéphane Deldicque, CSC public: «L’absence de décision concrète en ce qui concerne les auteurs de violence à l’égard des policiers. Rien n’a bougé depuis un an.»
Vendredi, des événements ont rappelé que le métier peut être à hauts risques. Lors d’une intervention à Houthalen pour exécuter un mandat d’arrêt, des policiers ont été pris à partie.
Un d’entre eux a été plongé dans un coma artificiel et ses jours sont toujours en danger. Jérôme Aoust, SNPS : «Sur les 4 groupes de travail, celui de la justice est à l’arrêt et s’est penché sur les violences commises par… les policiers et non contre le policier comme il était prévu.»
Bref, les représentants de policiers veulent que ça bouge, rapidement.
Du boulot pour notre Mickey, va falloir choisir un camp.
Les policiers promettent de bloquer Bruxelles le 23 octobre
BRUXELLES - Ils vont descendre en rue. Pas pour régler la circulation mais pour la bloquer. Les policiers en ont ras-le-bol. Le mercredi 23 octobre, ils vont cheminer de la Colonne du Congrès jusqu’au 16 de la rue de la Loi, mais pas au pas de course.
Les quatres syndicats des policiers (SLFP, CGSP, S NPS et CSC) ont pris cette décision, lundi en fin d’après-midi. Le motif principal de leur courroux comme l’explique Stéphane Deldicque, CSC public: «L’absence de décision concrète en ce qui concerne les auteurs de violence à l’égard des policiers. Rien n’a bougé depuis un an.»
Vendredi, des événements ont rappelé que le métier peut être à hauts risques. Lors d’une intervention à Houthalen pour exécuter un mandat d’arrêt, des policiers ont été pris à partie.
Un d’entre eux a été plongé dans un coma artificiel et ses jours sont toujours en danger. Jérôme Aoust, SNPS : «Sur les 4 groupes de travail, celui de la justice est à l’arrêt et s’est penché sur les violences commises par… les policiers et non contre le policier comme il était prévu.»
Bref, les représentants de policiers veulent que ça bouge, rapidement.
Du boulot pour notre Mickey, va falloir choisir un camp.
lundi 14 octobre 2013
dimanche 13 octobre 2013
La honte . . . .
Personne ne mérite et ne doit mourir, la mort est le pire échec
de l’homme.
Je dirais juste que de la part de certains individus, toujours
les mêmes et souvent par intérêt personnel, d’avoir fait croire à ces pauvres gens que l’Europe
était la terre promise est une faute dont ils devraient eux avoir honte.
Et lui il n’a pas honte ?
1000quet secouée après de nouvelles violences sur des policiers ?
Un policier blessé et 5 personnes interpellées
Un policier a été grièvement blessé et cinq personnes ont été interpellées vendredi soir dans des affrontements de quartier à Houthalen-Helchteren. Le policier a été hospitalisé à Genk avec une fracture du crâne. Il a subi une opération et était en fin de soirée hors de danger.
samedi 12 octobre 2013
Vingt-six Roms condamnés pour avoir forcé leurs enfants à cambrioler
ils ont été condamnés à des peines de 2 à 8 ans de prison.
iIs ont forcé leurs enfants à cambrioler, dans l'est de la France, en Belgique ou encore en Allemagne. Vingt-six Roms croates ont été condamnés à des peines de 2 à 8 ans d'emprisonnement, vendredi 11 octobre, à Nancy. Seule une accusée a été relaxée.
Les juges du tribunal correctionnel se sont montrés plus cléments que le parquet. Il avait requis contre une dizaine d'entre eux la peine maximale de 10 ans d'emprisonnement.
Achats d'épouses
Ces 27 tziganes étaient âgés de 19 à 55 ans. Ils étaient organisés en trois clans familiaux. Le butin collecté par ces enfants au cours d'une centaine de cambriolages : plusieurs millions d'euros.
Huit d'entre eux étaient également poursuivis pour "traite d'être humains", dans le cadre d'"achats" d'épouses, parfois pour près de 180 000 euros. Le tribunal n'en a toutefois condamné qu'un seul pour ce fait, et a requalifié l'infraction en "provocation de mineurs à commettre des délits" pour les sept autres.
120 suspects
L'enquête, basée sur des milliers d'écoutes effectuées chez 120 suspects, avait mis au jour une organisation dirigée par des chefs de clans, aidés de capitaines, lieutenants et enfin de leurs enfants, âgés d'une dizaine d'années, exécutants des cambriolages. Dans son réquisitoire, mercredi, le représentant du ministère public, avait décrit "un système basé sur la violence" et dénoncé la "lâcheté" et la "cupidité" des prévenus.
Achats d'épouses
Ces 27 tziganes étaient âgés de 19 à 55 ans. Ils étaient organisés en trois clans familiaux. Le butin collecté par ces enfants au cours d'une centaine de cambriolages : plusieurs millions d'euros.
Huit d'entre eux étaient également poursuivis pour "traite d'être humains", dans le cadre d'"achats" d'épouses, parfois pour près de 180 000 euros. Le tribunal n'en a toutefois condamné qu'un seul pour ce fait, et a requalifié l'infraction en "provocation de mineurs à commettre des délits" pour les sept autres.
120 suspects
L'enquête, basée sur des milliers d'écoutes effectuées chez 120 suspects, avait mis au jour une organisation dirigée par des chefs de clans, aidés de capitaines, lieutenants et enfin de leurs enfants, âgés d'une dizaine d'années, exécutants des cambriolages. Dans son réquisitoire, mercredi, le représentant du ministère public, avait décrit "un système basé sur la violence" et dénoncé la "lâcheté" et la "cupidité" des prévenus.
Pour la défense, "il n'y avait rien de tangible dans ce dossier, et l'on est parti dans tous les sens, sans socle juridique qui permette de condamner, simplement de soupçonner". Les avocats des prévenus avaient par ailleurs bataillé contre l'accusation de "traite des être humains", faute selon eux de quelque contrainte exercée sur les enfants.
Pour la plupart d’entre nous, nous n’aimons pas les gens qui
font du mal à des enfants, ce que font ces gens-là est abominable.
Et vous nous demandez de les accueillir comme des gens normaux.
Vous voulez rire ou quoi !!!!!!!!
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