samedi 23 mars 2013

Des dizaines de plaques d'égouts volées dans des communes du Nord




qu’il était doux et agréable le temps où il n’y avait que les oiseaux qui volaient chez nous ! 






Un préjudice financier pour la commune, mais aussi un danger pour les habitants de Pecquencourt, près de Douai (Nord) : vingt-neuf plaques d'égouts ont été subtilisées dans la nuit de mercredi au jeudi 21 mars. Les habitants se sont aperçus que la chaussée était désormais criblée de trous béants. Les voleurs ont agi discrètement, sans être vu ni ni entendu. L'absence de plaques d'égoût représente un danger à chaque coin de rue et devant les sorties de garage.
Ces plaques sont constituées d'un alliage à base de fonte, un matériau qui attise la convoitise des voleurs. Elles coûtent 300 euros pièce. Des vols similaires ont déjà été répertoriés à Lille.
Les vols de métaux sont courants dans la région. Récemment, une importante opération de police a permis la mise en examen de deux Roms de nationalité roumaine à Lille. Ils ont tenté de revendre 450 kilos de crucifix et de statuettes de la Vierge en bronze et en étain à un ferrailleur belge.

2 commentaires:

  1. Dans Les Misérables de Victor Hugo, Jean Valjean s'est retrouvé, pour cinq ans fers aux pieds, au bagne pour le vol d'un pain, je n'ose imaginer ce que l'auteur aurait réservé à ces bandits, vandales, escrocs, pourris qui nous dépouillent aujourd'hui. Mais la littérature change (tout comme les hommes) elle est devenue plus "droits de l'homme" et oublie trop souvent que cela s'accompagne aussi d'obligations.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Avec tout le respect et l’admiration que j’ai pour Victor Hugo, je ne crois pas qu’il aurait été capable d’imaginer l’histoire que nous vivons au quotidien.

      Supprimer