samedi 16 mars 2013

Manifestation contre les violences policières à Bruxelles


Près de 1.000 personnes se sont rassemblées vendredi soir

BRUXELLES Près de 1.000 personnes manifestaient vendredi soir à Bruxelles contre les violences policières à l'initiative de la Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC). Cette action, soutenue par une trentaine d'organisations, s'inscrit dans le cadre de la campagne "Stop-Répression" de la JOC ainsi que dans le cadre de la journée internationale contre les brutalités policières.
Le cortège de manifestants s'est rassemblé vers 18h, place Fontainas à Bruxelles. Il s'est ensuite dirigé vers la Bourse, avant d'emprunter la rue Antoine Dansaert jusqu'au canal.
"Les cas de violences et les abus se sont multipliés l'année dernière. Pourtant, l'impunité de la police reste totale. Souvent les victimes se voient accusées de rébellion et ceux qui se mobilisent sont menacés d'amendes administratives", dénonce la Jeunesse ouvrière chrétienne.
"On approche les 1.000 personnes", estime Antoine Roisin, de la JOC. L'an dernier, l'action avait déjà mobilisé quelque 500 personnes.
© La Dernière Heure 2013







Je ne me suis jamais fait brutaliser par des policiers ! Je me demande si le fait d'être en règle, de ne pas m'enfuir à leur approche, de rester poli et de montrer mes papiers lorsqu'on me le demande, ... y est pour quelque chose ?



6 commentaires:

  1. Ah j'ai eu droit à une brutalité policière, je devais avoir 10 ans (je vous parle d'un temps que les moins de 20, 30, 40 ans ne peuvent pas connaître), avec des amis on s'étaient introduit dans une casse, aaah on s'amusaient à sauter sur les voitures et puis tout à coup "patatras" la police. no chance, je me suis fait prendre, je me suis fais tirer l'oreille, et ramener à la maison (ce n'était pas bien loin), mon père, présent, ça c'était vraiment pas de chance. Le policier a relater les faits, et est reparti. La suite .... l'autre oreille en a pris un coup, punition sévère, regarder les amis s'amuser dehors, et cela pendant 2 longues semaines.
    Personne n'a manifesté pour dire que c'était injuste et pourtant je vous assure que MOI JE trouvais cela SUPER INJUSTE. Mais à cette époque, on craignait les "Monsieur l'Agent" et l'autorité paternelle (heureusement que maman était là, pour consoler le gros chagrin). Il faut reconnaître qu'à cette époque les policiers habitaient dans la ville ou commune de leur résidence, qu'ils étaient à pied, et que beaucoup d'entre-eux avaient connu la rue comme terrain de jeux avant nous.

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  2. J'ai omis de conclure. Aujourd'hui, ils doivent avoir au minimum le secondaire supérieur, de préférence le niveau universitaires. Viennent de n'importe où, certains se prennent pour des rambos, ne montrent plus l'exemple (se garent en double file, font des emplettes) garer vous juste derrière eux et cela vous en coûtera 50€ pour obstruction de la voie publique, l'humour ne fait plus partie de leur vocabulaire, vous avez enfreint la loi Mon frère était policier, il attendait sa fin de carrière avec impatience ne reconnaissant plus du tout le monde policier, tout change mais pas toujours dans le bon sens. Cela dit, je connais beaucoup de gentils policiers faisant respecter la loi, mais ce sont déjà des vétérans (et oui, aujourd'hui à 40 ans vous êtes déjà un vieux, alors ceux de 50 ou 60??????).

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  3. Et bien Léonie, le policier qui vous a tiré l’oreille a de la chance, il aurait fait cela à notre époque actuelle, il aurait été viré sur le champ, + condamnation pour violence sur un enfant ! ! ! ! !
    Ce qui est cocasse, de nos jours si le même policier se fait tué en service par un individu de moins de 18 ans ou même un adulte, on parlera de situation qui a malheureusement dégénéré en drame, on parlera a la vite vite en gros de l’affaire sans donné trop de détail et 8 jours plus tard le tout est oublier, certains parlent d’une justice a visage humain, moi je dirais plutôt une justice aveugle.

    il y a 3 ou 4 ans, j’ai parlé avec 2 policiers a des moments différents et qui ne se connaissaient pas, voila se qu’ils on clisse dans la conversation,
    A LA POLICE, SI TU N’ES PAS RACISTE, TU LE DEVIENS,
    je vous passe les raisons du pourquoi ! ! ! !

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  4. C'est bien pour cela que j'ai précisé que c'était au temps où l'on avait encore du civisme, que la loi était la loi, et que les parents n'admettaient pas que leurs enfants enfreignent cette loi. Pareil pour l'école, une punition écrite (l'horreur), rentrée à la maison je savais qu'elle serait multipliée par 2 et si un signe de réprobation se lisait sur mon visage, cela ne faisait qu'augmenter le chiffre, et pas question de faire cela à la vite, vite (comme on dit à Bruxelles), pas bien écrit, des taches et hop une de plus. Je n'ai pas eu beaucoup de punition, la leçon a été vite comprise. Aujourd'hui, je pourrais déposer plainte contre mon papa, contre le Maître (prof), car c'est sur cela me traumatiserait à vie.
    Je viens de voir un reportage, les contrôles de police (à la demande de la direction dans des écoles du secondaire) pour la détention de cannabis, et bien le maître suprême des droits de l'enfant, trouve cela traumatisant, dégradant, et inutile.
    Vous savez qu'à Bruxelles, la police est belge mais multiculturelle, cela change quelque peu la donne, raciste oui, mais vis-à-vis de qui????

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  5. et oui...
    j'ai habité notre capitale pendant 3 ans...et je n'ai jamais eu le moindre probléme avec les forces de l'ordre...!!! par contre avec les "brigades norvégiennes" qui trainent nos rues !!!je ne me souviens mêmes pas du nombres d'altercations et ce,sans aucunes provocations de ma part...simplement en attendant un tram ou dans un escalator de métro...violence verbales et insultes et menaces gratuites...je plains nos malheureux policiers confrontés a cette racaille ,aussi couteuse qu'inutile...sans éducation,ni respect !!! si certains d'entre eux perdent patience..cela peut se comprendre !!!

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    1. Vous avez beaucoup de chance de ne plus habiter la capitale, quoique plus proche du brabant flamand que du centre de Bruxelles, il n'empêche que le paysage environnant change à vue d'oeil.

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