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Dans leur edito et selon eux, c'est une mini évolution, "nouvelle réalité de notre capitale", et chaque édition est adaptée en fonction de la situation géographique...
Arabe et turc ... mais aucune mention d'une future édition avec des pages en italien, espagnol, grec, polonais, allemand, danois, etc, etc.
Ah non, Charly, tu te trompes, des éditions futures sont prévues ...
Et qu'en est il du bruxellois ? N'est-ce pas la vraie langue maternelle de notre capitale ? Et le flamand ? n'est il pas notre deuxième langue ?
Ah mais non, tu te trompes une fois de plus Charly ... il y a quand même un petit mini riquiqui article sur le "Brusseleir van'tjoer" en page 4, un article minimaliste de quelques mots rendant cette information aussi importante qu'un échange au vieux marché d'un bibelot contre une chique, un élastique et une punaise ...
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| L'edito |
Et de rajouter et je cite : "Nous savons les Bruxellois "de souche" assez ouverts pour cette évolution : ici, pas de place pour les extrémistes de tout bord ... il est des choses fondamentales qui nous unissent : la liberté, la tolérance, le respect et l'amour de notre ville."
Toutes ces belles paroles "envahissantes" de personnes voulant imposer leurs lois et qui ne vont qu'en sens unique au détriment du bruxellois et du peuple belge.
Si la rédaction d'articles dans des langues non européenne est une mini évolution, je me demande ce que sera "la grande révolution".
Rassurez vous, à défaut de lire ce "torchon sois disant multiculturel" heureusement gratuit, il vous sera loisible de l'employer à des fins plus utiles : démarrer un feu ouvert, en tapisser la cage de son animal de compagnie ou emballer ses verres ou ses bibelots lors d'un déménagement ...
Pour ma part, mon canari se fera un plaisir de "chier" sur leurs articles ...
http://www.vlanbruxelles.be/jnx-virtuels/vlan-bruxelles-edition-1-le-journal-en-ligne/
où cela va-t-il s’arrêter, je suppose que s’il n’y avait eu entre eux et nous la France et l’Espagne, certains nous auraient déjà accolés à leur pays.
RépondreSupprimerpoliticiens de M . . . .