samedi 22 décembre 2012

Le mécénat

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21-12-2012 09:38 | Par NBA, www.belga.be

Di Rupo et De Block visitent les Petits Riens à Ixelles

Le premier ministre, Elio Di Rupo, et la secrétaire d'Etat à la Lutte contre la pauvreté, Maggie De Block, ont rendu visite vendredi au siège de l'asbl "Les Petits Riens" à Ixelles.L'association créée il y a 75 ans par l'abbé Froidure gère la plus grande maison d'accueil de Belgique. Quelque 120 sans-abris y séjournent durant l'année. Le premier ministre et la secrétaire d'Etat ont mis en avant "le travail exceptionnel de cette association et de nombreuses autres associations de lutte contre la pauvreté", indique un communiqué de M. Di Rupo. Ils ont également insisté sur les efforts fournis avant le début de l'hiver par le gouvernement pour veiller à l'accueil des sans-abris: 300 places supplémentaires sont prévues à Bruxelles, qui s'ajoutent aux 400 qui dépendent de la Commission communautaire commune.

Nous ne les remercierons jamais assez, tous ces efforts consentis, cela met la larme à l'oeil.
Jamais trop tôt pour entrer en campagne électorale.


2 commentaires:

  1. je pense que les oeuvres de Mr L’abbé Froidure on œuvré a une époque à rendre la dignité et la fierté de pas mal de personnes qui avait réellement besoin qu’on les aide a passé un moment difficile et les oeuvres de Mr L’abbé Froidure on fait une grande quantité de petits miracles dans ce sens a l’époque.
    que fait t’ont aujourd'hui, entretenir ad vitam æternam une population (souvent venue d’ailleurs) qui ne voit pas l’avantage d’en faire plus puisqu’ils sont nourris, loger et blanchi si l’on peurs dire, et cela, sans contre partie, pire certains se font aidé par l’état et ses servent au passage chez une population souvent sans défense vue leurs grands âges.
    cela dit je serais toujours disposé a aidé chaque personne qui veut réellement en sortir, ce que ne fait pas le gouvernement (PS et CDH) car pour aidé ceux qui le mérites, même s’ils sont venus d'ailleurs, il faut se débarrassé de ceux qui sont des parasites.

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    1. L'Abbé Froidure, l'Abbé Pierre, Padre Pio, et bien d'autres ont oeuvré pour le bien-être, pour le véritable besoin des démunis, ils ont mis en place des espaces chauffés, des abris, la soupe populaire. Ils ont rendu la dignité à beaucoup de personnes. Ils ont oeuvré sans se remplir les poches au passage, la solidarité était totale.
      Aujourd'hui, on prend conscience de la misère humaine, du moins chez nous, d'octobre à mars. Quand je dis prendre conscience, c'est une euphémisme, on se doit de prendre conscience, on se doit d'avoir bonne conscience. Nos politiques sont ainsi faits, ils prennent des décisions pour se donner cette bonne conscience mais ce sont des usurpateurs, en rentrant chez eux, ils sont au chaud, passent à table et puis ils se vautrent sous la couette et ne se soucient plus du tout du pauvre hère qu'ils ont rencontré quelques heures plus tôt. Ce pauvre hère à qui ils ont serré la main (devant les médias), lui promettant un lendemain meilleur, la misère est à combattre, nous la combattrons tous ensemble, entamons la ritournelle : ainsi font font font, trois petits tours et puis s'en vont, ils nous prennent pour des c...
      Il n'y a pas que les politiques d'aujourd'hui qui sont à blâmer, il y a toujours eu des riches et des pauvres. Les politiques du 19ème s'enrichissaient sur le dos des pauvres belges, oh, ils ne voyageaient pas, aux frais du contribuable, dans de lointaines contrées, Arlon était déjà le bout du monde, mais le petit peuple était de la crotte. Ceux du 20ème ont pris l'initiative de faire venir des travailleurs d'autres pays, car le Belge est devenu plus érudit, des gens se sont battus pour obtenir des droits (les vrais cols bleus, pas ceux qui sont devenus blancs aujourd'hui et qui nous prennent pour des pommes). Ceux du 21ème nous font mourir à petit feu, pour pouvoir briller au firmament des élus, mais bientôt ils viendront nous rejoindre d'autres croissants prenant petit à petit leurs places.

      Je n'ai pas connu la guerre, je fais partie de ce que l'on appelle "le baby boom". Je n'ai jamais eu froid, on vivait à l'étroit, je n'ai jamais eu faim (le poulet du dimanche était un régal) Les familles se serraient les coudes, on n'étaient pas riche, on n'étaient pas pauvre.
      On partageaient avec ses voisins ..... je ne connais pas mes voisins.
      Le monde a changé, de la solidarité on est passé à l'individualisme.






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