jeudi 13 décembre 2012

Le déclin européen

Danone lance un plan d'économies de 200 millions d'euros sur 2 ans en Europe.

Le groupe alimentaire français Danone a annoncé jeudi qu'il préparait d'ici à mars 2013 un plan 
d'économies visant à réduire ses coûts de 200 millions d'euros sur deux ans en Europe, où la crise 
pèse sur ses ventes.
"Il est trop tôt aujourd'hui pour évaluer les impacts sur l'emploi" de ce plan, qui concernera les 9.000 cadres européens et les fonctions "support" (ressources humaines, finances...), et sera mené "sur la base du volontariat en privilégiant la mobilité interne", a précisé le directeur délégué à la présidence de Danone, Laurent Sacchi. Ce plan "visera à diminuer les frais de fonctionnement du groupe et de ses filiales européennes mais aussi à adapter les organisations managériales en Europe", a ajouté le groupe dans un communiqué. 
"En Europe, on n'a pas de problème de positionnement stratégique mais il y a une baisse forte de la consommation et un problème de pouvoir d'achat" qui renforce la concurrence entre les grands groupes agroalimentaires, a-t-il commenté. 
Si les ventes du groupe Danone continuent de bien se porter dans le monde, avec une croissance en données comparables de 5,6% à 15,7 milliards d'euros sur les neuf premiers mois de l'année, elles sont tirées par les marchés émergents et n'augmentent plus en Europe. Sur ces neuf mois, elles ont même reculé légèrement, de 0,6% à 8,2 milliards 
d'euros en Europe, alors qu'elles bondissaient de 18,2% à 2,7 milliards d'euros en Asie et grimpaient de 11,3% à 4,8 milliards d'euros dans le reste du monde. (MYCHELE DANIAU)

 http://www.skynet.be/actu-sports

Un Danone par jour, en forme toujours, ben !!!!! pour ça faut des sous dans nos porte-monnaie.

Danone voit son chiffre d'affaires faire un bond en avant partout, sauf en Europe, "les actionnaires se posent la question : "QUE FAIRE?", huummm ah oui  bye, bye on va voir ailleurs,  car "nous vouloir des sous" cela s'appelle la mondialisation.
Ben reste une solution "oublions Danone" et achetons les produits qui leur font de la concurrence, puisqu'il appert que c'est là, que réside le problème "la concurrence" 

2 commentaires:

  1. qui se sent encore Européen de nos jours, il y a 20 ans nous avion 100 X plus que le 10 dixièmes de ce qu’on essaye péniblement d’économisé en nous privant aujourd'hui des choses les plus élémentaires, santé, nourriture, éducation, etc. on nous a même privés de la fierté d’être belge.
    nous ne payons pas nos élus pour dirigé le pays, ils se servent en dirigeant le pays, ceux a la tête de l’Europe sont les même qui on a un moment ou autre dirigé leurs pays respectifs, les mêmes causes produisent les mêmes effets.
    ci-dessous ce PS , bien gros et bien gras parmi d’autres en est un bel exemple.
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    FLAHAUT PROTEGE LES BONUS DES ELUS
    Alors que la Belgique cherche de quoi alimenter ses caisses, le président de la Chambre André Flahaut ne souhaite pas renoncer aux bonus des élus. Alors que la chef de groupe Ecolo Muriel Gerkens redéposait une proposition visant à réduire le budget des fonctions spéciales d'au moins 50%, le président a relégué cette question à la Commission du règlement.

    Il a certes proposé d'écrire aux présidents des autres assemblées afin d'obtenir leur avis sur la question, ce renvoi en Commission équivaut à plusieurs mois d'attente avant une réelle décision. Ce sont donc 507.000 euros, d'après SudPresse, que se partageront les élus.

    LE GOUVERNEMENT SUPPRIME L’ALLOCATION
    DE FRAIS FUNERAIRES

    Cette loi-programme est une sorte de “texte fourre-tout dans lequel le gouvernement essaye de faire passer des choses discrètement en espérant que personne ne les voie” . Pour l’occasion, c’est plutôt loupé.
    Concrètement, l’assurance-maladie de l’ONSS prévoit une allocation de frais funéraires de 148,74 euros par famille. Et ce, en cas de décès d’un salarié, d’un chômeur, d’un invalide ou d’un salarié à la pension.

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    1. Les frais funéraires, parlons-en, en 2009, nous avons eu la tristesse de perdre notre maman. Une bonne bruxelloise pleine d'humour et de joie de vivre, une petite zwanze, une petite chanson. Oh, elle était née en 1912 (ne faites pas le calcul, elle a eu 11 enfants et je suis la dernière, croyez-moi, elle ne s'attendait plus du tout à voir un petit lardon poindre le bout de son nez, elle était déjà grand-mère), veuve à 53 ans avec des enfants mariés et d'autres aux études, elle a redoublé ses activités, femme d'ouvrage mais en noir (autre époque). Les années ont passées, la vie a continuer et puis .....
      Lorsque mon frère a présenté l'acte de décès, ma maman n'avait droit à rien, pas un cent, raison : elle n'avait jamais travaillé de sa vie.

      Par contre, mon frère a eu la surprise en 2010 de recevoir un redressement fiscal, l'argent qu'il versait pour l'entretien de notre maman (versement obligatoire au prorata des entrées) était considéré comme une entrée pécuniaire pour elle, elle aurait, donc, dû remplir une feuille d'impôt, et oui pas de perte pour l'état. Et pas d'inquiétude, ni l'Etat, ni le CPAS, ni la Société n'ont fait de perte. Chapeau mon frère, tu es un gars formidable, tu as tout pris en charge.

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