Le Qatar investira 170 milliards d'euros dans sa Coupe du Monde!
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Le Qatar va présenter un projet de climatisation pour la ville entière de Doha.
Il s'agit de l'une des extravagances du comité organisateur de la Coupe du Monde de 2022
qui prévoit 170 milliards d'euros d'investissements, soit à peu près la moitié du volume de
la dette publique grecque.
Le Qatar a obtenu l'organisation de la Coupe du Monde de 2022.
L'attribution de l'épreuve reine du football international au petit Emirat a déjà fait couler
beaucoup d'encre. On a parlé de corruption.
On a souligné l'emprise des Qatariotes sur le football international en général et européen
en particulier (PSG, Barcelone, détentions des droits télés, équipementier Burrda, Académie Aspire, etc.).
Alors que de nombreuses voix s'élèvent pour demander que la Coupe du Monde de 2022 se déroule
plutôt en hiver qu'au mois de juin ou de juillet sous des températures de 45 à 50°, Monsieur Hassan Al Thawadi,
le secrétaire général du Comité d'organisation du tournoi, a annoncé dans le quotidien britannique
The Guardian que son pays était en train de plancher sur un système de climatisation des rues et des espaces publics extérieurs pour la ville de Doha. Un système coûteux qui pose par ailleurs question au niveau écologique, mais qui permettrait au Qatar de maintenir l'organisation du tournoi en été. En attendant, l'Emirat prévoit également un investissement de 170 milliards d'euros pour construire les stades, installer ces systèmes de climatisation et développer les infrastructures requises par la FIFA. (Source : The Guardian)
On a beau aimer le foot, cela frôle, tout de même, l'indécence au vu de la misère dans laquelle
plonge le monde. 170 milliards cela en fait des repas, des couvertures, des toits, des pleins de citerne.
Avant la Révolution française, l’église de France possédait 1/5 des richesses de la France, on revient doucement au même système sous un autre nom.
RépondreSupprimerMINABLE, VOUS AVEZ DIT 'MINABLE' ? COMME C'EST MINABLE,
RépondreSupprimerGérard Depardieu n'a pas apprécié la remarque du Premier ministre, qui avait jugé "assez minable" son départ en Belgique. Dans une lettre ouverte à Jean-Marc Ayrault, publiée par le Journal du Dimanche dimanche 16 décembre, l'acteur, qui s'estime "injurié", annonce qu'il "rend [son] passeport français et [sa] sécurité sociale".
"Je n'ai malheureusement plus rien à faire ici (...) Je pars parce que vous considérez que le succès, la création, le talent, en fait, la différence, doivent être sanctionnés", écrit l'acteur, qui précise cependant qu'il continuera à "aimer les Français et ce public" avec lequel il a "partagé tant d'émotions !".
"QUI ETES VOUS POUR ME JUGER AINSI ?"
Je ne demande pas à être approuvé, je pourrais au moins être respecté ! Tous ceux qui ont quitté la France n'ont pas été injuriés comme je le suis", poursuit l'acteur. Rappelant avoir commencé à travailler "à 14 ans comme imprimeur, comme manutentionnaire puis comme artiste dramatique", il affirme avoir "toujours payé (ses) taxes et impôts".
Et de préciser avoir payé "en 2012 85% d'impôts sur (ses) revenus". "Je n'ai jamais tué personne, je ne pense pas avoir démérité, j'ai payé 145 millions d'euros d'impôts en 45 ans, je fais travailler 80 personnes (...) Je ne suis ni à plaindre ni à vanter, mais je refuse le mot 'minable'", insiste le nouveau résident de Néchin (Belgique).
"Qui êtes vous pour me juger ainsi, je vous le demande M. Ayrault, 1er Ministre de M. Hollande, je vous le demande, qui êtes vous ?", lance l'un des acteurs les mieux payés du cinéma hexagonal. "Malgré mes excès, mon appétit et mon amour de la vie, je suis un être libre Monsieur et je vais rester poli", conclut-il un brin théâtral sa missive au Premier ministre.
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Je pense qu’on devrait faire la différence entre ceux qui sollicitent notre argent en compensation d’une chose qu’ils nous offrent et qu’on aime et ceux qui nous imposent de payer pour une chose qui nous déplaît au plus haut point et qu’on ne veut pas.
A titre d’exemple, qui est le plus voleur, un acteur tel Gérard Depardieu ou un simulateur tel qu’un José Happart, a l’un , nous lui avons donné notre argent et l’autre , il nous a volé de 500.000 € au moment de quitté ses mandats politiques en plus des ses nombreux mandats super bien rémunérés pendant de nombreuses années, il a même eu le toupet de dire que cette prime de départ de 500.000 € était un acquit social.
Il serait temps de faire la différence entre le talent et la médiocrité.