L'histoire de Jack-O-Lantern (conte irlandais)
Jack aurait été un avare, un personnage ivrogne et égocentrique.
Un soir alors qu'il était dans une taverne le diable lui apparut et lui réclama son âme.
Jack demanda au diable de lui offrir à boire, un dernier verre avant de partir pour l'enfer.
Le diable accepta et se transforma en pièce de "six pence". Jack la saisit et la plaça, immédiatement, dans sa bourse.
Cette dernière ayant une serrure en forme de croix, le diable ne pouvait s'en échapper. Finalement, Jack accepta de libérer le diable à condition que ce dernier lui accorda une année de plus à vivre.
Douze mois plus tard, Jack fit une autre farce au diable, le laissant en bas d'un arbre avec la promesse qu'il ne le poursuivrait plus.
Lorsque Jack mourut, l'entrée du paradis lui fut refusée et le diable le refusa en enfer également.
Jack réussira, néanmoins, à convaincre le diable de lui donner un morceau de charbon ardent afin d'éclairer son chemin dans le noir.
Il plaça le charbon dans sa lanterne et fut condamner à errer sans but jusqu'au jugement dernier.
C'est l'histoire de la citrouille d'Halloween
Merci Léonie pour ce petit cours instructif
RépondreSupprimerce serait sympa si le diable pouvait donner a nos dirigent un
RépondreSupprimermorceau de charbon ardent afin d'éclairer leurs lanternes .
bon dimanche a vous tous.
Compte tenu qu'un penny (pence) vaut 0,0124743892079 euro qu'il faudra multiplier par 6 (Jack a reçu 6 pence), qu'il faudra, alors, multiplier par le nombre de ministres, vice-ministres, secrétaires d'Etat, sénateurs, parlementaires, liste non exhaustive (ils trouveront toujours un nouveau nom pour donner une fonction à un ami ou a un ami de mes amis), le diable proposera, peut-être, une autre alternative : rouvrir les mines.
RépondreSupprimerMy God, ils n'y ont pas encore pensé, normal ils n'invoquent pas souvent D...
Mais là, MAW, il faudra faire appel à des travailleurs venus d'ailleurs donc ... réfléchissons!!!! Proposons plutôt au diable de recevoir en son humble (pour nos dirigeants, elle est humble) demeure tous nos grands zéros, ceux qui vident nos poches (seulement pour que nous puissions continuer à être heureux), il ne devra bourse délier, nous les lui offrons à la seule condition qu'il les mettent derrière des portes avec des serrures en forme de croix et la promesse de leur faire subir les affres de l'enfer, sans espoir de retour, jamais !!!!!
Ben quoi, c'est un conte d'Halloween, quelque peu modifié, ils n'ont pas besoin de six pence pour boire un pot, ils ont nos impôts. Le charbon, ils ne connaissent pas, ils n'y ont jamais été. Mais pour avoir la priorité de s'éclairer, ils sortiront les deniers engrangés sans avoir à partager avec les administrés.
Que pensez-vous de ma prose, attention, si vous critiquez, je viendrai vous tirer les doigts de pied quand vous dormirez. Oh là, woups, promis, je consulte dès lundi.
Anacoluthe : reproduire l'immédiateté du parlé
bonne proposition Léonie, continuer comme cela et je vais vous imposé comme premier ministre,
Supprimerpetite rectification, les immigrés qui viennent pour travailler en Belgique, c’était il y a 30 ou 40 ans, je ne crois pas que les bureaux du CPAS donnent du travail ou engage des travailleurs, pourtant même ceux qui viennent du fin fond de l’Afrique sont sans papier, sauf un, celui des adresses des CPAS.
de toute façon pour certains d’entre eux, qui viennent vraiment pour travailler, c’est surtout la nuit le long des rails du chemin de fer, surtout ne penser pas qu’ils ménagent leurs peines, une voiture voler peut se retrouvé deux jours plus tard sur leurs marchés a l’Est.