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Gare aux chômeurs qui ne recherchent pas d'emploi: les sanctions ont fortement augmenté
Information à lire dans la presse ce matin: le nombre de sans-emploi sanctionnés par l'ONEM a augmenté de 32 % au premier semestre 2013. Ils ont été punis pour non-respect de l'obligation de chercher un job.
Le nombre de sans-emploi sanctionnés pour non-respect de l'obligation de rechercher un job a augmenté de 32% entre le premier semestre de cette année (14.008 sanctions) et la même période en 2012, selon des statistiques de l'Office national de l'Emploi (ONEm) répercutées jeudi par la Gazet van Antwerpen et les journaux de SudPresse.
La Flandre, Région qui sanctionne le plus
Cette soudaine augmentation serait due essentiellement à des renforts en personnel et une meilleure circulation de l'information au sein de l'ONEm, notamment en provenance des services régionaux de l'emploi et la formation. Elle est surtout perceptible en Flandre, où les sanctions sont passées de 2.914 en 2012 à 4.340 cette année (+47,5%). En Wallonie, ce nombre est de 6.514 (pour 5.290 un an auparavant, soit +24%). A Bruxelles, l'augmentation est de 30%, passant de 2.424 à 3.154 dossiers. Au premier semestre 2013, les exclusions totales du chômage ont touché 1.714 personnes en Belgique.
Combien des ces "coachs" ont le désir d'aider le chômeur?
Sanctionner, exclure, simple.
Combien de CV expédié par mail, courrier, déposé et surtout combien de réponses à ces courriers.
Il faut insister, reprendre contact avec les firmes, exiger une réponse, facile à dire pour la personne assise derrière son bureau. Du boulot, elle en a, elle a ses directives, elle les appliquent, même en dépit du non sens.
Les subtilités des employeurs, engager des intérimaires, avec l'aval de l'ONEM, les remettre au chômage quelques jours, reprendre le même intérimaire et cela pendant 3 ans. Pourquoi 3 ans, pour l'employeur les primes jouent, pour l'intérimaire qui croit au CDI, accepte, espère et puis, grosse désillusion, se retrouve au chômage comme "demandeur d'emploi n'ayant jamais travaillé" et oui, il faut travailler 18 mois consécutifs pour être considéré comme travailleur à part entière.
Au regard des dossiers, il n'arrive à aucun coach de se dire qu'il y a un "twist", qu'en est t'il de cet employeur, pourquoi quand les subsides ne suivent plus, met t'il le chômeur au placard et en prend t'il un autre? pourquoi l'ONEM permet t'il cela?
Pourquoi, les RPI (revenu petite indemnité) ne sont elles pas considérées comme des périodes de travail?
Je vois mes enfants se débattre, chaque jour, pour quitter la longue liste des demandeurs d'emploi.
Ma fille avec un bac+3 a postulé pour un emploi d'aide-maternelle, refusé parce que trop diplômé, il faut laissé la place pour les reconversions, et pas la peine d'insister, on ne va pas changer le règlement pour elle. Normal, non, ma fille est comme les autres, elle cherche du boulot.
Et pourtant, la chasse aux sorcières est ouverte.
Non, les chômeurs ne sont pas heureux de leur sort.
Je pense que l’on devrait mieux faire la part de ceux qui veulent travailler et ceux qui font tout pour ne pas travailler.
RépondreSupprimerun jour vu une famille de trois générations, tout le monde était au chômage, cela est t’il normal
on raconte qu’un jour un starter qui devait donner les départs d’une course de chevaux avec beaucoup de partants, celui-ci dit alors pour se faciliter la tâche
que ceux qui ne veulent pas gagner se placent derrière !
paraît que cela est véridique.
vous avez raison, l’on devrait plus s’occuper de ceux qui veulent travailler et les autres, s’ils veulent vivre comme des cloches c’est leurs problèmes
Je sais que mes propos peuvent créer la polémique. J'ai quitté l'école fin juin, début juillet, je travaillais, c'était une autre époque. Je me rebelle contre le système, quand je vois le nombre de fois que mes enfants sont appelés, ce serait super si c'était constructif. Il a été conseillé à ma fille de passer son permis D, donc, elle ne peut être assistante maternelle mais elle peut être chauffeur pour personnes handicapées ou camionneur. Le permis est a passé à ses frais, vous savez comme moi que ce n'est pas gratuit. Mon fils s'est présenté comme vendeur de chaussures, il n'a pas le diplôme de marketing, et oui pour vendre des godasses, priorité est donné à celui qui à fait des études de marketing. Je peux vous assurer que, en tant que vendeur il pourrait faire des miracles. Ce qui est marrant, c'est que pour les jobs étudiants,ils ont toujours eu beaucoup de chance et pourtant cela n'avait rien à voir avec leurs études.
SupprimerQuand j'écris "marrant", je ne trouve plus cela marrant aujourd'hui. Les possibilités des temps de travail pour les jobistes ayant été augmenté, vous comprenez que les patrons préfèrent des étudiants qui coûtent moins chers.
Supprimervous savez ce que je pense des gens de la rue de la Loi qui connaissent au centime prés le montant de leurs revenus, mais qui ignorent à 50.000 prés le nombre de chercheurs d’emplois !
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