mardi 15 octobre 2013

22 les vla!!!!

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Les policiers promettent de bloquer Bruxelles le 23 octobre
BRUXELLES - Ils vont descendre en rue. Pas pour régler la circulation mais pour la bloquer. Les policiers en ont ras-le-bol. Le mercredi 23 octobre, ils vont cheminer de la Colonne du Congrès jusqu’au 16 de la rue de la Loi, mais pas au pas de course.
Les quatres syndicats des policiers (SLFP, CGSP, S NPS et CSC) ont pris cette décision, lundi en fin d’après-midi. Le motif principal de leur courroux comme l’explique Stéphane Deldicque, CSC public: «L’absence de décision concrète en ce qui concerne les auteurs de violence à l’égard des policiers. Rien n’a bougé depuis un an.»
Vendredi, des événements ont rappelé que le métier peut être à hauts risques. Lors d’une intervention à Houthalen pour exécuter un mandat d’arrêt, des policiers ont été pris à partie.
Un d’entre eux a été plongé dans un coma artificiel et ses jours sont toujours en danger. Jérôme Aoust, SNPS : «Sur les 4 groupes de travail, celui de la justice est à l’arrêt et s’est penché sur les violences commises par… les policiers et non contre le policier comme il était prévu.»
Bref, les représentants de policiers veulent que ça bouge, rapidement.

Du boulot pour notre Mickey, va falloir choisir un camp.

2 commentaires:

  1. Publié le 11/10/2013 à 12:23, Mis à jour le 11/10/2013 à 12:44

    Lorient. Le policier poignardé jeudi en "état de mort clinique

    Le policier grièvement blessé à la tête par un coup de couteau jeudi asséné par un forcéné à Lorient, dans le Morbihan, est en "état de mort clinique", a annoncé ce vendredi le procureur de la République, Alexis Bouroz.

    Hospitalisé au CHU de Brest, le fonctionnaire, âgé de 49 ans, est marié et père de deux enfants. Lors de l'intervention pour un présumé différend familial, un deuxième policier avait été plus légèrement blessé.

    MÊMES CELA ILS SONT PARVENUS À NOUS FAIRE CROIRE QUE CELA ÉTAIT BANAL !!

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  2. Que ce fonctionnaire laisse une femme et des enfants, le monde politique va monter au créneau, parler de l'insécurité, de la nécessité de ... de quoi? J'attends les réponses.
    Soyons cyniques, ce policier se trouvait au mauvais endroit, au mauvais moment. Dans quelque temps, plus personne ne parlera de lui, un autre aura pris sa place, un autre sera caillassé, poignardé, mais les petites frappes auront toujours des circonstances atténuantes, c'est ça la justice de nos jours. La peur du gendarme n'existe plus, le respect de l'être humain encore moins.
    Chers élus du monde, merci de prendre soin de nous.

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