samedi 14 décembre 2013

Bond my name is Bond, James Bond

http://be.msn.com/
www.belga.be       13/12/2013
James Bond est un alcoolique invétéré, disent des médecins
L'examen minutieux de l'oeuvre de Ian Fleming par un groupe de médecins britanniques révèle la vraie nature de 007: avec 92 unités d'alcool en moyenne par semaine, James Bond est un alcoolique invétéré.

"Il est connu pour aimer les cigarettes, l'alcool et les femmes, et sa phrase fétiche est 'vodka Martini, secoué, pas mélangé'", rappellent les trois médecins qui signent cet étude originale publiée dans la revue médicale britannique BMJ. En réalité, idéalement, les cocktails Martini-vodka doivent être "mélangés" et non pas passés au shaker pour être "secoués", écrivent ces médecins très au fait. Ils suspectent donc la fameuse phrase de Fleming de faire référence aux "tremblements de mains induits par l'alcool" car "en raison de son niveau de consommation, James Bond présente un risque élevé de maladies liées à l'alcool et de mort prématurée". Les trois médecins ont passé au crible 12 romans dans lesquels Fleming raconte les aventures de l'agent secret britannique, pour tenir un compte précis de sa consommation alcoolique. Résultat: l'agent secret boit essentiellement quand il est en mission pour le compte de sa gracieuse majesté: "Il n'y a qu'une seule indication de consommation d'alcool en dehors du service". En outre, dans les 12 livres, les médecins ont recensé un total de 1.150 unités d'alcool consommées par 007. Une unité d'alcool en Grande-Bretagne équivaut à 10 ml ou 8 grammes d'alcool pur (contre 10 grammes dans les autres pays). En excluant du calcul les jours d'emprisonnement, d'hospitalisation ou de convalescence, durant lesquels on peut supposer que Bond ne boit pas, l'agent a ingurgité en moyenne 92 unités alcooliques par semaine, soit 736 grammes d'alcool. L'Organisation mondiale de la santé place à 210 grammes par semaine (soit 3 verres de vin par jour) la limite: au-delà la consommation est considérée comme excessive. Elle devient "à risque" à partir de 280 grammes et "nocive" au-delà de 420 grammes.

Une étude de plus et, qui plus est, de grande importance pour l'avancée de la science. Ne lisez plus, vous risquez l'overdose.


http://www.dhnet.be/  
James Bond aurait dû mourir à 56 ans d'une cirrhose
14/12/2013
Selon une très sérieuse étude britannique, James Bond était alcoolique.
Trois médecins ont très sérieusement étudié la consommation d’alcool de James Bond dans ses aventures romanesques. Allez savoir pourquoi, il paraît tout de suite évident que les praticiens en question ne peuvent venir que d’outre-Manche. À part dans la patrie des Monty Pythons et de Mr. Bean, qui aurait l’idée de s’intéresser à l’état de santé d’un héros de papier ?
Pour farfelue que paraisse l’enquête, elle ne manque pour autant pas de piquant. On y apprend en effet que l’espion au service (pas trop) secret de Sa Majesté confond Opération tonnerre et Opération 92 verres. Toutes les semaines, il boit une moyenne de 92 apéros ou digestifs. Et pas juste des "Vodka Martini, au shaker, pas à la cuillère".
Cette phrase culte trahirait son état, selon ces docteurs qu’on aimerait beaucoup consulter un de ces jours : le cocktail devrait se boire mélangé, d’après eux. S’il est secoué, c’est que les mains de 007 tremblent…
Leurs analyses sont sans appel : en engloutissant 736 grammes d’alcool tous les sept jours, 007 (décidément, le 7 est omniprésent chez lui) quadruple quasiment la limite de 210 g fixée par l’Organisation mondiale de la santé à partir de laquelle la consommation devient "à risque". En clair, James Bond est un pochetron !
Toujours selon les trois médecins qu’on ne se lasse pas de citer, il présente "un risque considérable de développer une maladie du foie, une cirrhose, de devenir impuissant ou d’avoir d’autres problèmes de santé liés à l’alcool, ou encore de se blesser sérieusement et de mourir en raison de son alcoolisme"
En conclusion, il devrait décéder d’une cirrhose, impuissant, à l’âge de 56 ans. Tout est dit. Jusqu’à la prochaine enquête hautement scientifique sur son taux de cholestérol. Car assez bizarrement, 007 semble avoir plus de chances de décéder de maladie (mais plus dans les bras d’une espionne qui venait du froid, hélas pour lui) que par balles. C’est sans doute ça, le fameux humour absurde britannique…

Ok c'est la même étude, mais narrée avec beaucoup plus d'humour par Patrick Laurent, il est dans le mouvement de l'humour british. 

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