dimanche 9 juin 2013

ALLER DANS LE SENS DU VENT..... important

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Recep Tayyip Erdogan, l'inflexible leader turc

Par Piotr Moszynski
Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan fait face depuis une semaine à un puissant mouvement de contestation. Devenu la cible principale des manifestants, il n’hésite pas à les qualifier d’extrémistes, d’anarchistes et de vandales, refusant toute concession. Pour ses adversaires, son inflexibilité frôle une perte de contact avec la réalité. Pour ses partisans, son intransigeance permet de sauver le pays de forces destructrices.




Turquie: changement de ton au sommet du pouvoir?

Par RFI
Les manifestations contre le Premier ministre, qui agitent la Turquie depuis huit jours, n'ont pas empêché la tenue ce vendredi 7 juin à Istanbul d'une conférence sur les relations entre la Turquie et l'Union européenne, prévue de longue date. L'occasion pour le commissaire européen à l'Elargissement, Stefan Füle, de mettre en garde Ankara. M. Erdogan a, quant à lui, esquissé un geste d'apaisement.
Selon un dernier bilan, trois personnes sont mortes et plus de 4 700 ont été blessées depuis le début de la vague de contestation anti-gouvernementale qui s'est propagée dans toute la Turquie.
Ces chiffres n'ont pas manqué de susciter les critiques de nombreux pays. Et lors de son discours devant Recep Tayyip Erdogan, Stefan Füle, commissaire européen à l'Elargissement, a été ferme : « Le recours excessif à la force par la police n'a pas sa place dans une démocratie ».
Et le commissaire de rappeler à Ankara de ne pas abandonner « ses valeurs de liberté et des droits de l'homme ». Un rappel à l'ordre toutefois atténué par l'engagement de l'UE à ne pas suspendre le processus d'adhésion de la Turquie dans l'Union.
Message bien reçu par Tayyip Erdgodan, qui a tenu un discours plus conciliant envers les manifestants. Il s'est dit ouvert et à l'écoute de toutes les revendications démocratiques. La Bourse d'Istanbul a immédiatement salué ce changement de ton, en clôturant la séance ce vendredi en hausse de plus de 3%.

CHOU BLANC OU BLANC CHOU??????

1 commentaire:

  1. sûr que sans l’UE, les entreprises quitteraient l’Europe, le chômage serait très élevé, les salaires au plus bas, le revenu du Cac 40 au plus bas et la Grèce ne seraient pas le merveilleux pays ou il fait bon vivre.

    ah oui, j’allais oublier, merci à l’Europe, sans qui je n’aurais pu manger des fraises au Nouvel An

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